Source : Hospital Employee Health.
La création d’une sécurité psychologique dans l’éducation médicale ouvre les apprenants à l’expérience, ce qui les incite à poser des questions et à participer activement. Un environnement éducatif psychologiquement sûr signifie que les apprenants savent qu’ils ne seront pas punis ou humiliés s’ils expriment leurs idées, leurs questions, leurs préoccupations ou leurs erreurs.
Source : Cognitive Research: Principles and Implications.
Bien que le port d’un masque sur le nez et la bouche soit un moyen simple mais efficace de se protéger et de protéger les autres lors d’une pandémie, les masques faciaux peuvent interférer avec la façon dont nous nous percevons et nous reconnaissons les uns les autres, et peuvent donc avoir des répercussions importantes sur la communication et les interactions sociales. À ce jour, on ignore encore dans quelle mesure le port d’un masque facial qui dissimule la partie inférieure du visage affecte l’extraction de différentes informations faciales.
Source : Gestion.
Le bien-être au travail, la santé psychologique et l’équilibre entre les différentes sphères de notre vie font l’objet de nombreuses préoccupations. La pandémie pourrait-elle avoir redéfini notre façon de voir les choses?
Source : Policy Update : National Association of State Boards of Education.
La pandémie a frappé de plein fouet la main-d’œuvre déjà vulnérable de l’éducation de la petite enfance (EPE), entraînant la fermeture de près de 40 % des garderies et la perte d’emploi de nombreux enseignants. [Alors que le secteur de l’éducation de la petite enfance se redresse lentement, de nombreux responsables politiques des États ont saisi de nouvelles occasions de plaider en faveur d’un investissement dans les efforts visant à remédier à la pénurie et à la rétention des enseignants de l’éducation de la petite enfance… en utilisant le financement pour soutenir la rémunération et les avantages sociaux, la santé mentale et le bien-être, ainsi que le développement professionnel des éducateurs.
Source : Healthcare.
Bien que la pandémie de COVID-19 ait eu un impact sur la population générale, les travailleurs de la santé (TS) ont constitué l’un des groupes les plus touchés par les risques associés, en raison des conséquences importantes sur leur santé mentale. Cette étude a examiné ces effets psychologiques sur les travailleurs de la santé qui se sont occupés de patients atteints de la maladie COVID-19 et admis dans l’unité de soins intensifs d’un hôpital italien.
Source : Social Work in Health Care.
Bien que l’épuisement et le cynisme soient deux dimensions de l’épuisement, en raison du professionnalisme, ils ont une influence différente sur les intentions de rotation des travailleurs sociaux médicaux. En utilisant un échantillon de 405 travailleurs sociaux médicaux en Chine, cette étude a trouvé que les mécanismes d’influence de l’épuisement et du cynisme sur l’intention de rotation sont différents. Le niveau de formation des travailleurs sociaux a un effet de modération significatif sur les relations entre l’épuisement, le cynisme et l’intention de rotation. Un effet de modération du type d’organisation a également été observé, bien qu’il ne soit pas significatif.
Source : International Journal of Mental Health Systems.
Les spécialistes du soutien par les pairs ont un impact positif sur la santé mentale des usagers de leurs services. Cependant, on sait moins comment leur santé mentale évolue suite à leurs activités.
Source : Travail & Sécurité.
Le Dossier est consacré à la prévention des risques psychosociaux. Les RPS, tout le monde en parle, mais qui sait réellement ce que cela recouvre ? Et surtout comment les prévenir. Ce sont des risques qui peuvent avoir des effets dévastateurs sur un collectif de travail et toucher durablement la performance de l’entreprise. Les combattre demande de la méthode mais également un engagement franc et massif de la part des dirigeants.
Source : American Journal of Industrial Medicine.
Cet article a trois objectifs : (1) fournir une vue d’ensemble du fardeau du travail posté, des longues heures de travail et des problèmes connexes de sommeil et de fatigue dans du secteur de la santé et des services sociaux ; (2) suggérer des priorités de recherche qui permettraient de les améliorer ; et (3) discuter des impacts positifs potentiels de la prise en compte de ces priorités de recherche pour la santé et la sécurité des travailleurs et du public.
Source : Hospital Infection Control & Prevention.
L’article parle des préventionnistes qui ont connu un épuisement mental et physique et un épuisement professionnel documentés pendant la pandémie de COVID-19. Il mentionne que les préventionnistes ont lutté tout comme les autres professions pendant la pandémie et révèle que près de 17% des préventionnistes consommaient de l’alcool quatre fois ou plus par semaine. Il mentionne une enquête menée auprès des membres de l’Association américaine des professionnels de la lutte contre les infections et de l’épidémiologie, qui a révélé que 22 % des répondants souffraient de dépression et 30 % d’anxiété.