Source : INRS France
Lorsque le port d’un appareil de protection respiratoire s’impose, l’employeur doit sélectionner l’appareil adapté, informer et former les utilisateurs, s’assurer que l’appareil est utilisé de façon adéquate, mettre en oeuvre le suivi pour l’entretien et la maintenance. L’ensemble de ces éléments forme le programme de protection respiratoire.
Source : Journal of Occupational and Environmental Hygiene.
Cette étude a comparé l’efficacité des APR N95 dans la protection respiratoire du personnel de santé d’un établissement de soins pour personnes âgées et d’un hôpital universitaire tertiaire. Bien que tous avaient déjà réussi l’essai d’ajustement de leur programme de protection respiratoire professionnelle, le taux de réussite à l’essai d’ajustement lors de l’étude était faible (27 %). Les travailleurs hospitaliers avaient 3,7 fois plus de chances de réussir le test que leurs homologues en milieu d’hébergement; ces derniers ont par ailleurs rapporté des niveaux plus élevés d’inconfort et d’insatisfaction globale avec les N95 par rapport au personnel hospitalier. Ces résultats soulignent la nécessité d’interventions ciblées et d’améliorations des pratiques de protection respiratoire au-delà des tests d’ajustement annuels, en particulier en milieux d’hébergement.
Source : Journal of Occupational and Environmental Hygiene.
Lors de la pandémie de COVID-19, outre les masques chirurgicaux, des écrans faciaux ont été recommandés pour protéger les yeux. On peut supposer que les écrans faciaux interceptent les éclaboussures et gouttelettes, tandis que les masques sont principalement exposés aux bioaérosols. Cette étude visait à examiner dans quelle mesure la contamination de l’écran facial et du masque diffère lorsqu’un rinçage de la bouche à la chlorhexidine (CHX) est effectué avant le traitement. L’étude a révélé un effet de réduction statistiquement significatif sur la contamination du masque.
Source : European Agency for Safety and Health at Work
S’appuyant sur des analyses bibliographiques et des entretiens, le présent document de réflexion vise à déterminer les incidences sur la SST, tant en termes d’opportunités que de risques, de la réalité virtuelle, augmentée et étendue et des technologies du métavers. Il préconise une approche globale tenant compte, entre autres facteurs, de l’environnement professionnel, de l’effet des expositions combinées à long terme, de l’absence de normalisation et d’une conception inclusive adaptée à la diversité de la main-d’œuvre.
Source : Institut national de santé publique du Québec
Ce projet propose d’étudier l’état actuel de la surveillance des zoonoses transmises par les tiques, les moustiques et les zoonoses entériques au Québec, et de réfléchir à des pistes d’action permettant d’optimiser cette surveillance, afin qu’elle puisse orienter la mise en place d’interventions préventives adaptées aux nouveaux contextes climatiques et écologiques.
Source : INSPQ
Le présent document met à jour les recommandations du Comité sur les infections nosocomiales du Québec (CINQ) sur les mesures de prévention et de contrôle du virus de la variole simienne dans les milieux de soins. La transmission aux travailleurs de la santé (TdeS) dans le cadre de leur travail demeure rare et semble liée à un bris dans l’application des mesures sécuritaires. Les membres du CINQ ont convenu d’adopter une approche prudente et recommandent l’application des précautions contre la transmission aérienne-contact avec protection oculaire dans les milieux visés.
Source : Institut national de santé publique du Québec
L’objectif du programme de surveillance provinciale des incidents et accidents liés au retraitement des dispositifs médicaux (RDM) est de documenter la fréquence et la gravité des événements indésirables en RDM et de déterminer les causes à l’origine dans le but d’orienter les actions préventives à mettre en place pour prévenir les récidives.
Source : Hospital Employee Health.
Le malaise lié à la vaccination semble s’être étendu aux travailleurs de la santé. Citant un taux de vaccination COVID-19 abyssal de 17 % pour les travailleurs de la santé au cours de la saison grippale 2022-2023, le CDC a pointé du doigt « l’absence de recommandation du prestataire » comme l’une des quatre principales raisons pour lesquelles les patients ne se font pas vacciner, les autres étant la crainte d’effets secondaires graves, l’apparition d’effets secondaires mineurs, et le manque de temps ou l’oubli.
Source : Journal of the Association of Occupational Health Professionals in Healthcare.
Cette étude compare le risque d’expositions liées au travail et d’expositions en dehors du travail chez les travailleurs de la santé. Pour toutes les expositions au COVID signalées par les employés, les auteurs ont analysé les symptômes, les tests et les sources d’infection et ont calculé les risques relatifs de développer le COVID-19 par type d’exposition.
Source : CCHST: Le rapport sur la santé et la sécurité.
Le virus de la grippe aviaire A (H5N1), qui est responsable de l’infection communément appelée « grippe aviaire », se propage parmi les animaux du monde entier, et le Canada n’est pas épargné. Bien que le risque d’infection chez l’humain demeure faible, vous pouvez prendre des précautions pour protéger les travailleurs contre cette maladie respiratoire.