Source : ANACT
A la suite du premier confinement lié au Covid, de nombreuses entreprises ont négocié leur premier accord télétravail ou renégocié l’accord existant. Pour mieux comprendre les principes qui ont orienté ces négociations et le cadre qu’elles ont cherché à dresser, le réseau Anact-Aract a analysé de façon approfondie plus de 40 accords signés en 2020.
Source : Occupational Medicine.
Le travail par quarts présente des risques associés au syndrome métabolique et à une faible qualité de sommeil.Cette étude visait à examiner le syndrome métabolique et la qualité du sommeil chez les pompiers et les mineurs travaillant en équipe et en journée.
Source : Journal of Occupational and Environmental Medicine.
L’objectif de cette étude était d’analyser l’interaction entre les facteurs physiques et psychosociaux du travail concernant l’incidence des accidents du travail chez 6900 travailleurs issus d’une enquête longitudinale.
Source : Journal of Occupational and Environmental Medicine.
Cette étude visait à étudier la relation entre les longues heures de travail et la maladie rénale chronique (MRC) en fonction du statut diabétique.
Source : Scandinavian Journal of Work, Environment & Health.
Le but de cette étude était de déterminer si (i) le travail à domicile et (ii) les attentes d’être disponible pour l’employeur pendant leur temps libre influencent les perceptions des employés sur leur environnement de travail et leur bien-être, leur santé, leur engagement organisationnel ou leur intention de partir.
Source : ANACT
A distance, il est plus difficile de repérer et gérer les problèmes de surcharge de travail – ou de sous-charge. Que disent les accords télétravail de ces questions ? Comment sont abordées les possibilités de régulation, de suivi de l’activité, de droit à la déconnexion ? Interview de Karine Babule, chargée de mission à l’Anact.
Source : Biomedical Reports.
Le cancer du sein est la principale cause de cancer associé (sic) chez les femmes dans le monde. Plusieurs études ont montré que les facteurs individuels, environnementaux et professionnels peuvent jouer un rôle important dans l’apparition du cancer du sein ; bien que la majorité des études aient démontré cette association et que plusieurs études aient examiné les voies biologiques, il est impossible de décrire avec certitude la relation de cause à effet qui implique la perturbation du rythme circadien et la dérégulation de la mélatonine avec les processus oncogènes. Au fil des ans, grâce à l’introduction d’outils de dépistage plus efficaces, on a assisté à une augmentation de l’incidence du cancer du sein ainsi qu’à une diminution de l’âge du diagnostic. Par la suite, un nombre croissant de personnes ont obtenu des soins à un plus jeune âge, ce qui signifie qu’après la chirurgie et la chimiothérapie, ces travailleurs ont dû retourner au travail. À la lumière de ces changements paradigmatiques, l’objectif de la présente revue était d’identifier les cibles potentielles des futures stratégies organisationnelles qui devraient être adoptées sur le lieu de travail par les médecins du travail, tant pour la prévention que pour le processus de retour au travail des femmes actives ayant souffert d’un cancer du sein.
Source : The Lancet Regional Health – Europe.
Jusqu’à présent, les études sur le lien entre les longues heures de travail et les problèmes de santé ont ciblé principalement les risques cardiométaboliques et la dépression. Une nouvelle recherche s’est penchée sur l’analyse du risque de 46 maladies physiques et mentales, ainsi que de quatre critères d’évaluation de la mortalité avant la retraite (65 ans). Cette étude de cohortes a été menée dans quatre pays de l’Europe : Finlande, Suède, Danemark et Royaume-Uni.
Source : Hospital Employee Health.
Avec les mandats fédéraux imminents concernant le vaccin COVID-19, l’épuisement professionnel à un niveau record et de nombreux baby-boomers qui approchent de l’âge de la retraite, une pénurie nationale d’infirmières se profile, qui pourrait entraîner l’arrêt des soins indispensables. L’Association américaine des infirmières a récemment envoyé une lettre au ministère de la Santé et des Services sociaux, demandant à l’administration Biden « de déclarer une crise nationale du personnel infirmier et de prendre des mesures immédiates pour élaborer et mettre en œuvre des solutions à court et à long terme ».
Source : Bulletin Info-RPS.
Depuis le début de la pandémie de la COVID-19, le réseau de la santé et des services sociaux a dû faire face à de nombreux défis. Créativité et proactivité ont été au rendez-vous. Afin de guider les acteurs du réseau vers le développement de stratégies préventives appropriées, l’INSPQ a, au cours de la dernière année, conduit différentes collectes de données afin de mieux documenter la réalité des travailleurs et travailleuses du réseau de la santé.