Source : Journal of Occupational and Environmental Medicine.
L’objectif de cette étude est d’examiner les relations entre les heures de travail, le stress, les heures de sommeil, le burnout, le PTSD, l’anxiété et la dépression rapportés par les employés des centres médicaux universitaires.
Source : The Canadian Journal of Psychiatry.
Les travailleurs de la santé (TS) exposés au COVID-19 sont à risque de souffrir de détresse psychologique. Bien que plusieurs études transversales aient été réalisées, une perspective longitudinale est nécessaire pour mieux comprendre l’évolution des indicateurs de détresse psychologique au sein de cette population. Les objectifs de cette étude étaient d’évaluer l’évolution de la détresse psychologique et d’identifier les trajectoires de détresse psychologique des travailleurs canadiens de la santé pendant et après la première vague de COVID-19.
Source : Journal of Occupational and Environmental Medicine.
Cette étude a cherché à analyser la relation entre les longues heures de travail et les symptômes dépressifs et anxieux en fonction du sexe et du travail par quarts.
Source : Healthcare.
La détresse psychologique signalée parmi les travailleurs de la santé de première ligne est préoccupante. On sait peu de choses sur la santé mentale des travailleurs de la santé psychiatriques qui ne sont pas en première ligne et qui jouent un rôle central dans la gestion de la crise de santé mentale pendant la pandémie de COVID-19. Cette étude visait à examiner la prévalence de l’anxiété et de la dépression chez les travailleurs sociaux psychiatriques et à évaluer son association avec des facteurs sociodémographiques, socio-économiques, liés au travail et des stratégies d’adaptation.
Source : Healthcare.
La rotation des professionnels de la santé est un problème de ressources humaines en pleine expansion qui affecte les systèmes de santé. Pendant la pandémie de COVID-19, les professionnels de la santé ont été confrontés à des situations stressantes qui ont eu un impact négatif sur leur santé psychologique. Dans cette étude, nous avons exploré les impacts du bien-être émotionnel des professionnels de la santé sur leur intention de quitter leur emploi.
Source : Work.
Cette étude vise à évaluer le niveau d’anxiété des employés en déterminant les conditions de travail et les pratiques de protection sur le lieu de travail des personnes qui ont dû travailler pendant la pandémie de COVID-19.
Source : Work.
Cette étude vise à évaluer les niveaux d’anxiété des professionnels de la santé travaillant dans la province de Québec (Canada) pendant la première vague de la pandémie de COVID-19 et à identifier les facteurs associés aux changements des scores d’anxiété.
Source : Stress and Health.
Cette étude a examiné la relation réciproque entre la résilience et les symptômes de dépression et d’anxiété à l’aide d’un modèle à trois vagues croisées.
Source : Journal of Occupational Health Psychology.
On pense généralement que les gens s’inquiètent d’une perte d’emploi potentielle dans la mesure où ils considèrent la perte d’emploi comme probable. Cependant, existe-t-il des personnes pour lesquelles la perte d’emploi est si préjudiciable qu’elles éprouvent des niveaux élevés d’inquiétude même si elles considèrent la perte d’emploi comme moins probable ? Pour répondre à cette question, la présente étude s’est appuyée sur la recherche sur la cognition orientée vers l’avenir pour étudier les profils d’insécurité d’emploi (IE) cognitive et affective.
Source : Healthcare Policy.
Une étude transversale à l’échelle de la province auprès de 3 978 infirmières a été menée pour explorer l’état de santé mentale de la main-d’œuvre infirmière en Colombie-Britannique. Environ un tiers des infirmières ont fait état de dépression et d’anxiété; environ la moitié d’entre elles ont signalé des symptômes de trouble de stress post-traumatique et au moins un tiers ont signalé des niveaux élevés d’un ou plusieurs aspects de l’épuisement professionnel. Les problèmes de santé mentale étaient d’environ 1,5 à 3 fois plus fréquents chez les infirmières de la Colombie-Britannique que chez leurs pairs à l’échelle nationale. L’amélioration de la santé mentale des infirmières exige des efforts multifactoriels et à plusieurs niveaux. On recommande la mise en place de politiques et d’interventions fondées sur les données probantes et propres aux milieux de travail pour mieux soutenir les infirmières à risque.