Source : Journal of the American College of Radiology.
Les infections nosocomiales sont reconnues depuis longtemps comme un facteur contribuant à la morbidité et à la mortalité hospitalières ainsi qu’aux coûts globaux des soins de santé, l’adoption subséquente de pratiques d’hygiène des mains et de nettoyage étant la principale défense contre la propagation de l’infection dans les hôpitaux. Traditionnellement, ces initiatives se sont concentrées sur les secteurs où la circulation et les contacts avec les patients sont fréquents, comme les services d’urgence, les étages des patients qui séjournent aux soins ou les unités de soins intensifs. Cependant, avec l’avènement des technologies modernes et portables et l’omniprésence des systèmes informatiques dans les hôpitaux, les zones à faible circulation, comme le service de radiologie, attirent de plus en plus l’attention en raison de leur possible rôle dans l’infection nosocomiale.