Description et prévention des lésions dermatologiques liées au port des équipements de protection individuelle (EPI) et autres techniques d’hygiène dans le contexte de la pandémie de COVID-19

Source : Association des médecins spécialistes dermatologues du Québec
Ce guide a été préparé afin de présenter les différentes conditions cutanées causées par l’hygiène des mains et par les EPI et afin de recommander des mesures préventives en lien avec ces conditions.

Incidence of Cutaneous Reactions After Messenger RNA COVID-19 Vaccines

Source : JAMA Dermatology.
Des réactions cutanéo-muqueuses, telles que le prurit, l’urticaire et l’angioedème, peuvent survenir après la vaccination par l’ARN messager (ARNm) du COVID-19. À notre connaissance, l’incidence de ces réactions et leur récurrence lors d’une vaccination ultérieure n’ont pas été décrites. Les réactions cutanées peuvent contribuer à l’évitement inutile de futures doses de vaccination.

Preventing SARS-CoV-2 Transmission in Health Care Settings in the Context of the Omicron Variant

Source : JAMA.
Le monde est en proie à une recrudescence sans précédent des cas de SRAS-CoV-2 attribuables à la variante Omicron. Cette nouvelle variante est 2 à 3 fois plus contagieuse que la variante Delta. Selon un rapport du Royaume-Uni, 1109 des 14 606 contacts non domestiques de personnes présentant la variante Omicron ont développé une infection, contre 2922 des 102 997 contacts non domestiques de personnes présentant la variante Delta (7,6 % contre 2,8 %, respectivement ; odds ratio ajusté [OR], 2,63 [IC 95 %, 2,43-2,84]). La contagiosité accrue de la variante Omicron n’entraîne pas seulement une recrudescence des infections communautaires, mais aussi une augmentation des transmissions dans les hôpitaux. Au cours de la dernière semaine de décembre 2021 en Angleterre, par exemple, 2525 des 12 424 (20,3 %) patients hospitalisés pour le SRAS-CoV-2 ont été diagnostiqués pour la première fois plus de 7 jours après leur admission à l’hôpital. À titre de comparaison, les chiffres analogues pour la première semaine de novembre 2021 étaient de 434 patients sur 5208 (8,3 %).

N’attendez pas l’entrevue de départ, faites en une de rétention

Source : Les Affaires.
Aux États-Unis, la «Grande démission» oblige les entreprises à repenser leur approche afin de freiner le déferlement de cette autre vague qui fait d’importants ravages depuis le début de la pandémie. Plutôt que d’attendre l’entretien de départ d’un employé afin de saisir ce qui justifie sa démission, des responsables des ressources humaines et des gestionnaires mènent ponctuellement ce qu’on appelle dans la langue de Shakespeare les «stay interview».

S’adapter au travail hybride

Source : Les Affaires.
À une époque qui paraît aujourd’hui préhistorique, la plupart des gens travaillaient à plein temps au bureau. Déroutés au début par l’expérimentation forcée du télétravail, nombreux sont ceux qui en reconnaissent certains avantages aujourd’hui. Au cours des prochains mois, le travail hybride demandera de nouvelles adaptations à tous, notamment aux gestionnaires.

The Seniority Swoop: Young Nurse Burnout, Violence, and Turnover Intention in an 11-Hospital Sample

Source : Nursing Administration Quarterly.
Cette étude a cherché à comprendre si les infirmières âgées de 20 à 29 ans sont plus nombreuses à souffrir d’épuisement professionnel et à avoir l’intention de changer de poste que les infirmières plus âgées, et si oui, pourquoi.

The C.A.R.E. model of employee bereavement support

Source : Journal of Occupational Health Psychology.
Pratiquement tous les employés vivront un deuil ou une peine à un moment donné de leur carrière, mais les organisations sont souvent mal préparées à soutenir les employés en deuil. Peu de travaux empiriques ont été menés sur l’expérience du deuil sur le lieu de travail, et cette étude répond aux appels à la recherche sur le sujet.

The impact of remote work and mediated communication frequency on isolation and psychological distress

Source : European Journal of Work and Organizational Psychology.
L’évolution massive vers des pratiques de travail à distance a confronté de nombreuses organisations et de nombreux employés aux défis aigus associés au travail multilocal. Cette évolution souligne la nécessité de reconsidérer l’isolement comme l’un des principaux défis des organisations à une époque où les pratiques de travail sont de plus en plus dispersées et médiatisées. Cette étude s’appuie sur une enquête en trois vagues auprès de travailleurs finlandais pour examiner comment les pratiques de travail à distance et l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC) ont eu un impact sur les perceptions de l’isolement pendant la pandémie de santé mondiale, et si ces relations ont un effet sur la détresse psychologique.

The prior infection with SARS-CoV-2 study (PICOV) in nursing home residents and staff – study protocol description and presentation of preliminary findings on symptoms.

Source : Archives of Public Health.
La pandémie de COVID-19, causée par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2), s’est présentée comme l’un des problèmes de santé les plus importants des années 2020, et a touché le plus durement la population gériatrique. La présence de comorbidités et le vieillissement immunitaire chez les personnes âgées entraînent une susceptibilité accrue au COVID-19, comme c’est le cas pour d’autres maladies de type grippal (ILI) ou infections aiguës des voies respiratoires (ARI). Cependant, on sait peu de choses sur l’impact d’une infection antérieure ou actuelle sur l’autre en termes de susceptibilité, de réponse immunitaire et d’évolution clinique. L’objectif de l’étude PICOV (Prior Infection with SARS-COV-2) est de comparer le délai d’apparition d’un SG ou d’une IRA entre les participants ayant une infection antérieure confirmée par le SRAS-CoV-2 (infectés antérieurement) et ceux n’ayant pas d’infection antérieure confirmée (naïfs) chez les résidents et les membres du personnel des maisons de retraite.