Équipe doc ASSTSAS Source : INRS France
Lorsque le port d’un appareil de protection respiratoire s’impose, l’employeur doit sélectionner l’appareil adapté, informer et former les utilisateurs, s’assurer que l’appareil est utilisé de façon adéquate, mettre en oeuvre le suivi pour l’entretien et la maintenance. L’ensemble de ces éléments forme le programme de protection respiratoire.
Source : Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail
Cette fiche d’information Réponses SST porte sur les nettoyants, assainisseurs et désinfectants : leur nature, les risques qu’ils peuvent poser, et des consignes pour leur emploi sécuritaire.
Source : INRS Santé et sécurité au travail
Bruit au travail : dossier web de l’INRS sur le bruit au travail et l’offre d’information mise à disposition poru prévenir les risques d’exposition professionnelle.
Nouveautés du centre de documentation Le centre de documentation comporte une vingtaine de nouveaux documents, notamment trois guides qui traitent de l’organisation de la SST et un guide en ligne sur les pratiques de prévention dans la conception et la rénovation des établissements d’hébergement. Il y a également plusieurs livres. Ils traitent des compétences relationnelles, … Lire la suite
Source : Travail sécuritaire NB
Fiche de 10 pages sur le bruit au travail : les effets du bruit, la nature des risques et les personnes à risque, les normes canadiennes et les exigences légales (au NB), comment mesurer l’exposition et les mesures de contrôle que les employeurs et les travailleurs peuvent appliquer.
Source : IRSST
Ce document vise à informer les milieux de travail sur la survenue de plus en plus fréquente des vagues de chaleur et à favoriser la prise en charge des risques reliés à la chaleur à l’aide d’un aide-mémoire. Il s’adresse aux préventionnistes, aux intervenants et intervenantes en santé et sécurité du travail, aux gestionnaires, aux superviseurs et superviseures, aux représentants et représentantes des travailleurs et travailleuses et à tous ceux et celles qui ont un intérêt dans la prise en charge des risques reliés à la chaleur. (Résumé de l’éditeur)
Source : Occupational and Environmental Medicine.
Les travailleurs des services correctionnels courent un risque élevé de syndrome de stress post-traumatique et d’autres problèmes de santé mentale. Les taux de prévalence et les comportements de recherche d’aide sont peu étudiés au sein de cette population. Cette étude vise à évaluer les taux de SSPT et de détresse, et à identifier les facteurs prédictifs de l’intention de chercher de l’aide, parmi les travailleurs d’une agence australienne de services correctionnels.
Source : American Journal of Industrial Medicine.
Le personnel de la sécurité publique est exposé à des événements potentiellement traumatisants à une fréquence élevée et présente une prévalence plus élevée de symptômes liés aux traumatismes par rapport à la population générale. Les conséquences organisationnelles de cette exposition et les effets sur la santé mentale qui y sont associés, sont moins bien connus. La présente étude synthétise la littérature internationale sur les résultats du travail chez le personnel de la sécurité publique (PSP) afin de déterminer si et comment les symptômes liés à l’ETP et aux traumatismes sont liés aux résultats du travail.
Source : Occupational and Environmental Medicine.
Cette étude explore si les changements à l’horaire de travail des infirmières, le nombre de quarts de nuit et le nombre de retours rapides (moins de 11 heures entre quarts) étaient reliés à des changements dans la fréquence de maux de tête.
Source : Occupational and Environmental Medicine.
Environ 81 % des lésions cérébrales traumatiques sont considérées comme légères (LCTl), mais peu d’études ont examiné celles causées par la violence sur le lieu de travail. Cette étude est la première à examiner les demandes d’indemnisation pour traumatismes craniocérébraux légers dus à la violence au travail aux États-Unis. Les résultats suggèrent que les secteurs de l’administration publique, de l’éducation, des soins de santé et des services sociaux sont plus exposés au risque de TMS dû à la violence sur le lieu de travail. La violence et la catégorie professionnelle sont les seuls facteurs modifiables dans le modèle et devraient donc faire l’objet de recherches supplémentaires.