Association of sedentary work with colon and rectal cancer: systematic review and meta-analysis
Source : Occupational and Environmental Medicine.
Une méta-analyse pour étudier l’association entre le travail sédentaire et le cancer colorectal.
Source : Occupational and Environmental Medicine.
Une méta-analyse pour étudier l’association entre le travail sédentaire et le cancer colorectal.
Source : Journal of Occupational and Environmental Medicine.
L’objectif de cette étude était de déterminer les associations entre les agents professionnels prévalents et le risque de cancer du poumon.
Source : NIOSH Science Blog
Le National Toxicology Program (NTP) a récemment publié un rapport sur le lien entre le travail de nuit persistant et le risque de cancer. Ce rapport fait suite à une évaluation similaire publiée en juillet 2019 par le Centre international de recherche sur le cancer. Les deux agences ont examiné les études existantes sur le travail de nuit et le cancer et ont toutes deux convoqué des experts dans les domaines de la recherche humaine, animale et des sciences fondamentales. Dans le récent rapport du NTP, il a été conclu qu’il existe une « confiance élevée » dans le fait que le travail de nuit persistant qui entraîne une perturbation circadienne peut causer le cancer chez l’homme, et le CIRC a conclu que le travail de nuit est « probablement cancérogène pour l’homme. »
Source : National Toxicology Program
Le NTP a utilisé des méthodes d’examen systématique et des critères établis pour parvenir à ses conclusions sur les risques de cancer, à savoir que (1) le travail de nuit persistant peut provoquer un cancer du sein chez les femmes et (2) certaines conditions d’éclairage peuvent être liées au cancer.
Source : Hygiène et sécurité au travail, 2020-12.
Le risque chimique est peu abordé dans les «normes machines», notamment pour des raisons techniques. Les constructeurs hésitent souvent à intégrer ce risque dans la phase de conception de leurs machines. Le risque chimique, notamment en lien avec les substances cancérogènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction (CMR), est moins «visible» que le risque mécanique. Dans ces conditions, il devient difficile pour les experts normalisation de définir les exigences de santé et de sécurité pour les différentes phases de vie du produit. La nécessité de caractériser l’exposition dans les ambiances de travail est fondamentale, afin de verrouiller au mieux les exigences normatives de test pour les fabricants, en tenant compte des utilisateurs.
Source : Basta !.
Le comble : des soignantes en cancérologie développent elles-mêmes la maladie du fait de l’absence de précautions autour des traitements anti-cancéreux pendant des années. Une enquête exclusive de Basta ! avec le magazine Santé & Travail.
Source : Santé & travail.
C’est un paradoxe : les chimiothérapies pour traiter le cancer contiennent des substances cancérogènes. Elles ont été manipulées pendant des années sans aucune précaution. A Rennes, quatre soignantes sont déterminées à faire reconnaître leur cancer professionnel. Notre enquête menée avec le site d’info Basta!
Source : Annals of Work Exposures and Health.
Cette étude visait à déterminer la mortalité et l’incidence du cancer du rein chez les travailleurs qui ont été exposés à l’amiante. Nous avons effectué une revue systématique et une méta-analyse pour évaluer l’association entre l’exposition professionnelle à l’amiante et le cancer du rein.
Source : The Lancet Oncology.
En juin 2019, un Groupe de Travail de 27 scientifiques venus de 16 pays s’est réuni au Centre international de Recherche sur le Cancer (CIRC) à Lyon, France, pour finaliser leur évaluation de la cancérogénicité du travail de nuit posté. Cette évaluation sera publiée dans le volume 124 des Monographies du CIRC. Cet article est la version française du synthèse publié dans The Lancet Oncology (doi 10.1016/S1470-2045(19)30455-3)
Source : The Lancet Oncology.
En juin 2019, un Groupe de Travail de 27 scientifiques venus de 16 pays s’est réuni au Centre international de Recherche sur le Cancer (CIRC) à Lyon, France, pour finaliser leur évaluation de la cancérogénicité du travail de nuit posté. Cette évaluation sera publiée dans le volume 124 des Monographies du CIRC.