Nouvelle édition de la norme Entreprise en santé

Source : Ordre des conseillers en ressources humaines agréés
Le Bureau de normalisation du Québec (BNQ) et le Groupe entreprises en santé (Groupe ES) dévoilent la nouvelle édition de la norme Entreprise en santé, reconnue désormais comme norme nationale du Canada par le Conseil canadien des normes.

Formation : COVID-19 et santé au travail

Source : INSPQ
Cette formation en ligne a été conçue pour les travailleurs qui sont ou seront de retour au travail. Elle présente les mesures de prévention à respecter pour réduire la transmission du virus de la COVID-19 en milieu de travail et dans la communauté. À la fin de cette activité, les personnes seront en mesure d’identifier les recommandations indiquées à leur milieu professionnel et les appliquer pour se protéger et protéger les autres.

Workplace Cleaning for COVID-19: Guidance Document

Source : American Industrial Hygiene Association
L’American Industrial Hygiene Association (AIHA) a formulé des recommandations sur les procédures de nettoyage et de désinfection dans les établissements autres que la santé afin de prévenir les infections. L’AIHA souligne l’importance de réaliser un nettoyage régulier des surfaces et des équipements de travail. Également, l’utilisation de désinfectants qui répondent aux critères de l’EPA pour lutter contre le SRAS-CoV-2 et la formation du personnel de nettoyage pour assurer un usage sécuritaire de ces produits

SAFER Framework: Six Key Focus Areas for Employers During Reopening Efforts and Beyond

Source : National Safety Council
Le Conseil national de la sécurité a publié un résumé du cadre de travail pour les employeurs – basé sur les recommandations du groupe de travail SAFER : Safe Actions for Employee Returns – qui identifie six domaines critiques que les employeurs doivent prioriser lorsqu’ils envisagent de rouvrir et de renvoyer des employés dans des environnements de travail traditionnels. Ce document s’appuie sur des dizaines de protocoles, de recommandations et de ressources d’orientation en matière de santé publique et d’entreprise. Les six domaines clés identifiés dans le cadre sont les suivants Environnements physiques ; problèmes médicaux ; stress, santé émotionnelle et mentale ; emploi et ressources humaines ; besoins de communication ; considérations externes.

Legionella risks during the coronavirus outbreak – HSE news

Source : Health and Safety Executive
Le Health and Safety Executive (HSE) du Royaume-Uni a émis une mise en garde contre le risque de contamination de Legionella dans les systèmes d’alimentation en eau des bâtiments qui ont été fermés ou partiellement occupés pendant l’épidémie de coronavirus. HSE a formulé des recommandations sur la gestion de risques lorsque ces systèmes seront remis en service, ainsi que sur leur entretien s’ils ont été en fonctionnement.

Premiers soins en santé mentale COVID-19 Guide de prise en charge de sa santé mentale pour bâtir sa résilience

Source : Commission de la santé mentale du Canada
La flambée de COVID-19 a contraint de nombreux Canadiens à changer radicalement leur quotidien dans un effort concerté pour « aplatir la courbe », afin d’éviter de congestionner les services de santé. Pour certains d’entre vous, ce sera l’isolement pendant deux semaines, alors que d’autres devront travailler à domicile dans l’avenir prévisible. D’autres encore devront continuer d’aller à l’extérieur en raison de la nature essentielle du travail qu’ils accomplissent. Certains seront même confrontés à la perspective de perdre leur emploi. Ce sont toutes des situations difficiles à vivre et chacun réagit au stress à sa manière. Le moment est bien choisi pour se souvenir cependant que non seulement vous possédez de la résilience et êtes en mesure de vous adapter, mais en tant que premier intervenant, vous pouvez également continuer d’aider d’autres personnes. Nous avons préparé un document d’accompagnement que vous pouvez télécharger.

Managing mental health challenges faced by healthcare workers during covid-19 pandemic

Source : BMJ (Clinical research ed.).
Neil Greenberg et ses collègues présentent les mesures que les gestionnaires de soins de santé doivent mettre en place pour protéger la santé mentale du personnel de santé qui doit prendre des décisions moralement difficiles. La pandémie de covid-19 va probablement placer les professionnels de la santé du monde entier dans une situation sans précédent, les obligeant à prendre des décisions impossibles et à travailler sous des pressions extrêmes. Ces décisions peuvent porter sur l’allocation de ressources limitées à des patients tout aussi nécessiteux, sur l’équilibre entre leurs propres besoins physiques et mentaux et ceux des patients, sur l’alignement de leurs souhaits et de leurs devoirs envers les patients sur ceux envers la famille et les amis, et sur la fourniture de soins à tous les patients gravement malades disposant de ressources limitées ou insuffisantes. Cela peut entraîner pour certains un préjudice moral ou des problèmes de santé mentale…

The Effects of Indoor Ambient Temperature at Work on Physiological Adaptation in Night Shift Nurses

Source : Journal of Nursing Management.
Cette étude a examiné les effets de la température ambiante intérieure sur le confort thermique, la tolérance au travail de nuit (fatigue, somnolence et adaptation nocturne) et la mélatonine urinaire chez les infirmières de nuit. Contexte Le travail de nuit induit un stress physique et mental. Le travail de nuit et la température ambiante sont associés à la performance au travail. L’environnement de travail doit être amélioré pour que le travail de nuit soit réussi. Cependant, les effets de la température ambiante intérieure sur les infirmières de nuit ne sont pas clairs. Méthodes Dans cette étude croisée, 20 participants ont été divisés en deux groupes de 10 et ont été affectés à l’un des deux environnements thermocontrôlés (23°C vs. 26℃) pendant deux quarts de nuit consécutifs. Le vote de la sensation thermique et d’humidité, la tolérance au travail de nuit, la température du corps et la mélatonine urinaire ont été évalués. Résultats Il y avait des différences significatives entre les deux groupes en ce qui concerne le vote de la sensation thermique et la température corporelle. Il n’y a pas eu de différences significatives dans le vote de la sensation d’humidité ou la tolérance au travail de nuit. Les niveaux de mélatonine urinaire ont diminué de manière significative au cours de la deuxième équipe de nuit à 23°C. Conclusion Une température compensée de 23°C peut exercer un effet positif sur l’adaptation au travail de nuit. Implications pour la gestion des soins infirmiers Les infirmières et les responsables des soins infirmiers devraient évaluer leur confort thermique pendant les quarts de nuit, et un meilleur confort thermique devrait être offert aux infirmières.