Source : Journal of Infection.
On s’inquiète de plus en plus du fait que certaines personnes souffrent d’épisodes répétés de la maladie COVID-19, caractérisés dans un petit nombre de cas par des infections de novo avec des séquences distinctes, indiquant une immunité protectrice insuffisante, même à court terme.
Source : American Journal of Infection Control.
Les respirateurs à adduction d’air pur (PAPR) sont une option pour les travailleurs de la santé qui ont besoin d’une protection respiratoire pendant le Covid-19 ; pendant la pandémie actuelle, ils sont partagés entre plusieurs personnes. Les cagoules PAPR sont destinées à des utilisations multiples par un seul utilisateur et peuvent présenter un risque d’infection entre les porteurs.
Source : American Journal of Infection Control.
Les établissements de soins de longue durée (ESLD) sont des environnements particulièrement favorables aux épidémies de coronavirus (SRAS-CoV-2), en raison de la population à risque qu’ils accueillent et de la proximité des résidents. Pourtant, la dynamique de transmission de la maladie dans ces établissements reste floue
Source : Journal of Infection.
Nous avons lu avec grand intérêt la récente publication de Majra et al. qui se concentre sur les événements « sociétaux » de super propagation (ESS) comme un facteur de risque majeur pour la propagation des épidémies. Nous faisons état d’une autre situation d’ESS avec une concentration nosocomiale parmi les travailleurs de la santé (HCW) à l’hôpital Tenon, Paris, France, un hôpital de taille moyenne de 525 lits, entre le 21 février et le 6 mars, suite à l’admission de notre premier cas confirmé de COVID-19.
Source : American Journal of Infection Control.
Avec une saison grippale unique qui se déroule en pleine pandémie, il est intéressant d’évaluer le rôle du vaccin antigrippal dans la sensibilité et la gravité de la COVID-19. Dans cette étude de cohorte rétrospective, on a identifié les patients qui ont subi un test de laboratoire pour la COVID-19. Cette étude de cohorte rétrospective a permis d’identifier les patients ayant subi un test de laboratoire pour le COVID-19. Les points d’aboutissement secondaires chez les patients ayant obtenu un résultat positif au test COVID-19 comprenaient la mortalité, la nécessité d’une hospitalisation, la durée du séjour, la nécessité de soins intensifs et la ventilation mécanique.
Source : Journal of Hospital Infection.
Nous avons étudié les sources d’infection chez les travailleurs de la santé (HCW) et les patients d’un hôpital universitaire au cours des premiers stades de la pandémie COVID-19 à l’aide de données épidémiologiques et de séquençage du génome entier. Cette étude rétrospective est réalisée dans un hôpital universitaire néerlandais doté d’installations de soins infirmiers situées à Rotterdam et à Schiedam, avec environ 45 000 admissions par an.
Source : Journal of Hospital Infection.
La réduction de la transmission de COVID-19 repose sur le contrôle de la propagation des gouttelettes et des aérosols. La coloration à la fluorescéine révèle des gouttelettes microscopiques. Nous avons utilisé cette technique pour comparer la propagation des gouttelettes dans un théâtre standard (ST) et un environnement à flux d’air laminaire (LAF).
Source : Journal of Infection.
Deux études récentes publiées dans cette revue se sont concentrées sur l’infection par le CoV-2 du SRAS chez les travailleurs hospitaliers (TS), la première faisant état de la prévalence du portage du CoV-2 du SRAS chez les TS et la seconde, de la présentation clinique des TS symptomatiques afin d’identifier les nouveaux cas le plus tôt possible et de stopper la transmission nosocomiale. L’objectif de la présente étude était d’estimer, au sein de l’hôpital, le risque d’infection des professionnels de santé à la suite d’une exposition à haut risque à un sujet infecté par le CoV-2 du SRAS sans équipement de protection individuelle.
Source : American Journal of Infection Control.
La pénurie de masques respiratoires filtrants N95 pendant une pandémie est une préoccupation majeure des experts en soins de santé. L’une des solutions pour pallier à cette pénurie est de décontaminer et de réutiliser les appareils. L’objectif de cette étude était de développer une nouvelle technique d’évaluation basée sur 3 exigences majeures de décontamination : (1) inactiver les virus, (2) ne pas altérer les propriétés du respirateur et (3) ne laisser aucun sous-produit toxique sur le FFR.
Source : Journal of Nursing Management.
L’objectif de cette étude était d’explorer les défis rencontrés par les infirmières des unités de soins intensifs tout au long de la prise en charge des patients atteints du COVID-19.