All About You: Staying resilient during tough times
Source : Safety & Health.
Le vétéran de la sécurité devenu conférencier professionnel Richard Hawk nous fait part de trois tactiques qui l’aident à gérer les situations de détresse.
Couverture sur la pandémie COVID-19
Source : Safety & Health.
Le vétéran de la sécurité devenu conférencier professionnel Richard Hawk nous fait part de trois tactiques qui l’aident à gérer les situations de détresse.
Source : Journal of Nursing Management.
Cette étude a examiné les effets de la température ambiante intérieure sur le confort thermique, la tolérance au travail de nuit (fatigue, somnolence et adaptation nocturne) et la mélatonine urinaire chez les infirmières de nuit. Contexte Le travail de nuit induit un stress physique et mental. Le travail de nuit et la température ambiante sont associés à la performance au travail. L’environnement de travail doit être amélioré pour que le travail de nuit soit réussi. Cependant, les effets de la température ambiante intérieure sur les infirmières de nuit ne sont pas clairs. Méthodes Dans cette étude croisée, 20 participants ont été divisés en deux groupes de 10 et ont été affectés à l’un des deux environnements thermocontrôlés (23°C vs. 26℃) pendant deux quarts de nuit consécutifs. Le vote de la sensation thermique et d’humidité, la tolérance au travail de nuit, la température du corps et la mélatonine urinaire ont été évalués. Résultats Il y avait des différences significatives entre les deux groupes en ce qui concerne le vote de la sensation thermique et la température corporelle. Il n’y a pas eu de différences significatives dans le vote de la sensation d’humidité ou la tolérance au travail de nuit. Les niveaux de mélatonine urinaire ont diminué de manière significative au cours de la deuxième équipe de nuit à 23°C. Conclusion Une température compensée de 23°C peut exercer un effet positif sur l’adaptation au travail de nuit. Implications pour la gestion des soins infirmiers Les infirmières et les responsables des soins infirmiers devraient évaluer leur confort thermique pendant les quarts de nuit, et un meilleur confort thermique devrait être offert aux infirmières.
Source : Journal of Nursing Management.
Objectif : Évaluer l’effet d’une intervention de 4 semaines de Mindfulness-Based Training sur l’amélioration du stress, de l’anxiété, de la dépression et de la satisfaction professionnelle des infirmières de salle.
Source : British Journal of Nursing.
Des gants de protection stériles sont utilisés pour réduire le risque d’infection pour les patients et les cliniciens dans tous les établissements de soins. Cela est particulièrement important dans les salles d’opération, où l’infection du site chirurgical est une complication courante et grave pour les patients périopératoires. Ces gants sont traditionnellement fabriqués à partir de latex de caoutchouc naturel et saupoudrés de poudre d’amidon de maïs. Cependant, l’utilisation fréquente de gants en latex peut entraîner une hypersensibilité ou une allergie au latex.
Source : International Archives of Occupational and Environmental Health.
L’objectif de l’étude était de comparer l’efficacité des interventions de thérapie cognitivo-comportementale pour l’insomnie (TCC-I) à celle d’une intervention sur l’hygiène du sommeil dans un plan contrôlé randomisé parmi les travailleurs de quarts. Nous avons également étudié si les caractéristiques du trouble du travail posté (TDS) affectaient les résultats.
Source : Safety & Health.
Que peuvent faire les employeurs pour aider les personnes travaillant à domicile à rester en sécurité pendant la pandémie COVID-19 – et au-delà ?
Source : Safety & Health.
Le vétéran de la sécurité devenu conférencier professionnel Richard Hawk nous fait part de trois tactiques qui l’aident à gérer les situations de détresse.
Source : Journal of Clinical Nursing.
L’objectif de l’étude était de faire la synthèse de la littérature concernant le SSPT chez les infirmières. Deux objectifs ont guidé cette étude : (a) décrire la prévalence du SSPT chez les infirmières diplômées et (b) identifier les facteurs associés au SSPT lié au travail infirmier.
Source : Safety & Health.
David Musgrave, qui dirige le domaine de pratique « Brain-Centric Reliability » chez DEKRA (dekra.us), propose des suggestions pour combattre la « fuite virtuelle des cerveaux » inhérente aux réunions et présentations virtuelles.
Source : Safety & Health.
Boston – Les troubles de stress post-traumatique liés au travail sont une « préoccupation croissante » pour les infirmières, qui doivent s’adapter à des responsabilités professionnelles en constante évolution tout en équilibrant les demandes à la maison, selon une étude récente de l’hôpital pour enfants de Boston.