Source : Work.
L’objectif de cette étude est d’évaluer la prévalence des LATR chez les chirurgiens peu invasifs en Israël, discuter des facteurs contributifs et de la sensibilisation générale à la formation ergonomique. En outre, une revue de la littérature sur le sujet a été réalisée.
Source : Journal of Occupational Health.
On manque de connaissances sur l’interaction entre la peur du mouvement (FOM) et les facteurs physiques et psychosociaux liés au travail dans le développement et la persistance des troubles musculo-squelettiques (TMS).Méthodes : Dans cette étude transversale, 305 travailleurs de la santé de plusieurs hôpitaux belges ont rempli un questionnaire comprenant des facteurs sociodémographiques, des facteurs liés au travail (soutien social, autonomie au travail, charge de travail et exigences physiques du travail), la FOM et les TMS pour différentes régions du corps au cours de l’année écoulée.
Source : International Archives of Occupational and Environmental Health.
Nous avons cherché à examiner les associations prospectives entre les heures de travail mensuelles mesurées dans un mois, les heures moyennes sur 6 mois et la fréquence des longues heures de travail (≥ 205 h/mois) au cours des 6 derniers mois et les indicateurs de santé.
Source : Hygiène et sécurité du travail.
L’évaluation des interventions en prévention est souvent perçue comme une remise en question du savoir professionnel. Qui plus est, évaluer des interventions, surtout en prévention des troubles musculosquelettiques ou des risques psychosociaux, peut représenter un défi hors d’atteinte. Pourtant, l’évaluation peut avoir une perspective apprenante et une vertu formative et, grâce au nouvel outil Evalia développé par l’INRS et l’Anact, elle est facilitée : pour les intervenants l’ayant expérimenté, les bénéfices sont probants.
Source : Références en santé du travail.
Réponse de l’INRS à la question suivante : Une solution technique comme un tapis anti-fatigue ou des semelles est-elle efficace sur les troubles musculosquelettiques (TMS) ?
Source : International Journal of Occupational Safety and Ergonomics.
Cette étude visait à évaluer l’efficacité des dispositifs d’assistance au transfert des patients dans la réduction du risque de troubles musculo-squelettiques (TMS) liés au travail chez les infirmières.
Source : Nursing Outlook.
La turbulence est une caractéristique centrale du flux de travail des infirmières, mais on ne s’est pas suffisamment intéressé à la façon dont elle affecte leurs conditions de travail. Pour mieux comprendre la turbulence, nous avons élargi et affiné une première conceptualisation qui incluait la communication et la charge de travail comme principales sources de turbulence.
Source : International Archives of Occupational and Environmental Health.
L’objectif de cette étude était d’évaluer l’efficacité d’un programme d’intervention ergonomique basé sur le modèle PRECEDE-PROCEED en termes d’amélioration des risques d’exposition et des problèmes de santé liés au travail chez les répartiteurs médicaux d’urgence.
Source : APSAM
La manutention manuelle est une activité courante qui, dans certaines conditions, peut comporter des risques pour la santé et la sécurité des travailleurs. L’APSAM a créé trois fiches illustrées portant sur des activités de manutention manuelle fréquentes. Elles regroupent des recommandations, trucs et astuces à utiliser lors de la planification du travail de manutention. De plus, les fiches présentent les gestes sécuritaires à adopter pendant le travail.
Source : International Journal of Safe Patient Handling & Mobility (SPHM).
Depuis la première édition des normes, des progrès considérables ont été réalisés dans la recherche, l’éducation, la formation et la défense de la SPHM. Par exemple, les comités SPHM et de prévention des chutes collaborent, les établissements sont équipés de lève-personnes au plafond, les nouvelles constructions intègrent la technologie SPHM dans les zones de soins aux patients, et diverses disciplines travaillent ensemble pour la sécurité dans le continuum des soins. Mais les taux de blessures liées à la manutention des patients et à la mobilité n’ont pas été réduits de manière significative. Cela signifie que notre travail n’est pas terminé.