A safety precautions protocol reduces self-harm for at-risk patients in the ER

Source : Healthcare Purchasing News.
Une nouvelle étude publiée dans le Joint Commission Journal on Quality and Patient Safety, « Keeping Patients at Risk for Self-Harm Safe in the Emergency Department : Une approche protocolisée », par Abigail L. Donovan, MD, et ses collègues du Massachusetts General Hospital, Boston, décrit la mise en œuvre d’un protocole complet de précautions de sécurité pour les patients des services d’urgence qui risquent de s’automutiler, a annoncé la Commission.

CDC funds research on using robots to reduce workplace hazards in manufacturing, health care

Source : Safety & Health.
Dans le domaine des soins de santé, des « robots infirmiers » télécommandés pourraient réduire la charge de travail et diminuer le risque d’infections, « notamment dans les environnements de quarantaine et de soins intensifs ». Les chercheurs du WPI travaillent à la mise au point d’un moyen de faciliter le contrôle et le fonctionnement de ces robots à distance pour les infirmières.

Risque d’être frappé, coincé ou écrasé par un objet ou de l’équipement : comment se protéger?

Source : Convergence SST.
Lorsqu’on m’a demandé d’écrire sur le risque d’être frappé, coincé ou écrasé par un objet ou de l’équipement, j’ai immédiatement pensé au concept de zone dangereuse. Pour être frappé, coincé ou écrasé de la sorte, il faut que notre corps, ou une partie de celui-ci, se situe dans la zone dangereuse de cet objet ou de cet équipement. Autrement dit, dans la trajectoire qu’il peut prendre si un événement imprévu survient. Si je me donne un coup de marteau sur le doigt en plantant un clou, c’est que mon marteau a dévié de la trajectoire prévue. Mon doigt était dans cette zone dangereuse où il était possible — et probable, dans mon cas — que je rate la tête du clou.

Qu’importe votre milieu de travail, ne prenez pas les chutes de même niveau à la légère!

Source : Convergence SST.
Qui n’a jamais été victime ou témoin d’une chute de même niveau? Ce type de chute est reconnu comme étant l’un des accidents les plus courants dans toute entreprise. La plupart de ces événements fâcheux sont souvent qualifiés de légers, de banals, de ridicules ou de drôles. Mais attention! Ils peuvent entraîner des blessures sérieuses telles les contusions, les foulures, les entorses, les luxations, ou même des lésions graves : fractures, traumatismes crâniens, commotions cérébrales… et parfois même, la mort.

Ohio legislation looks to prevent workplace violence in health care settings

Source : Safety & Health.
Columbus, OH – La législation récemment introduite dans l’Ohio Statehouse obligerait les employeurs du secteur de la santé à élaborer et à mettre en œuvre un plan de prévention de la violence au travail dans un délai de six mois.

La violence, l’affaire de tous

Source : Prévention au travail.
« Chaque année, près de 20 000 Québécois — des femmes, pour la plupart — continuent d’être victimes d’une infraction commise en contexte conjugal. En fait, au Québec, près du quart de la criminalité contre la personne est attribuable à la violence conjugale1. » C’est dans ce contexte que le 16e paragraphe du…

Évaluation de l’impact d’actions en prévention menées sur 20 ans par l’analyse textuelle de 77 cas d’accidents de chariots élévateurs

Source : Archives des Maladies Professionnelles et de l’Environnement.
L’INRS a conduit, entre 2000 et 2019, de nombreux travaux visant à réduire le nombre et la gravité des accidents du travail dus au renversement latéral d’un chariot élévateur. À l’achèvement de l’ensemble des travaux, la question s’est posée de l’impact de ceux-ci sur la sinistralité au cours de cette période. L’indicateur classique de suivi du nombre de ces accidents, construit à partir des données statistiques de la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam), s’est révélé être inadapté du fait d’un changement de nomenclature intervenu en 2013.

Factors contributing to work-related violence: A systematic review and systems perspective

Source : Safety Science.
Cette revue systématique identifie les facteurs contribuant à la violence au travail et adopte un cadre de pensée systémique (Rasmussen’s Risk Management Framework, 1997) pour cartographier le système du lieu de travail.