Accounting for Social Workers’ Emotions during and after the Pandemic

Source : Health & Social Work.
La pandémie de COVID-19 a accru la demande de travailleurs sociaux pour fournir des services aux familles et aux communautés qui connaissent des disparités en matière de résultats sanitaires, de soins de santé et d’éducation. En général, les travailleurs sociaux sont à l’avant-garde de la lutte contre les disparités en matière de santé en fournissant des services complets aux groupes les plus défavorisés. Cependant, la rétention du personnel dans la profession est une préoccupation majeure, notamment en raison de la pandémie

Stress and Depression in Ohio Social Workers during the COVID-19 Pandemic: The Buffering Role of Social Connectedness

Source : Health & Social Work.
Bien que les travailleurs sociaux présentent un risque élevé d’infection par le COVID-19, aucune étude antérieure n’a examiné l’impact du virus sur les praticiens. À l’aide de données d’enquête (N = 441), cette étude a identifié les associations entre le stress, la dépression et les facteurs liés au COVID et a exploré le rôle de la connectivité sociale comme modérateur de la santé mentale chez les travailleurs sociaux de l’Ohio.

Job demands, not resources, predict worsening psychological distress during the early phase of the COVID-19 pandemic

Source : Work & Stress.
La pandémie de COVID-19 a contraint de nombreux travailleurs du monde entier à travailler à domicile, soudainement et souvent sans choix, pendant une période de grande incertitude. En adoptant une approche longitudinale et centrée sur la personne, nous avons exploré les modèles de changement dans la détresse psychologique des employés sur une période de trois mois après la phase initiale de la pandémie. Nous avons étudié comment le changement de détresse s’est déroulé pour différents sous-groupes latents.

Probable aerosol transmission of SARS-CoV-2 through floors and walls of quarantine hotel, Taiwan, 2021

Source : Emerging Infectious Disease journal.
Nous avons étudié un groupe d’infections par le SRAS-CoV-2 dans un hôtel de quarantaine à Taïwan en décembre 2021. Le groupe comprenait trois patients qui vivaient dans des chambres non adjacentes à des étages différents. Ils n’ont eu aucun contact direct pendant leur séjour. En explorant directement l’espace au-dessus des plafonds des chambres, nous avons trouvé des tunnels résiduels, des défauts muraux et des tuyaux tronqués entre leurs chambres. Nous avons réalisé une expérience simplifiée de gaz traceur pour évaluer l’interconnexion entre les pièces. La transmission par aérosol à travers les défauts structurels des sols et des murs de cet hôtel mal ventilé était la voie la plus probable de transmission du virus. Cet événement démontre la grande transmissibilité des variantes d’Omicron, même entre les chambres et les étages, par le biais de défauts structurels.

Evaluation of respiratory function in healthcare workers wearing face masks during the COVID-19 pandemic

Source : The American Journal of Emergency Medicine.
La pandémie de COVID, qui a provoqué des taux de mortalité élevés dans le monde entier, a principalement affecté l’environnement de travail des travailleurs de la santé. Des changements métaboliques et respiratoires se produisent chez les travailleurs de la santé travaillant avec des masques chirurgicaux.

Evaluation of real and perceived risk to health care workers caring for patients with the Omicron variant of the SARS-CoV-2 virus in surgery and obstetrics

Source : medRxiv.
La variante Omicron du virus du SRAS-CoV-2 est décrite comme plus contagieuse que les variantes précédentes. Nous avons cherché à évaluer le risque pour les travailleurs de la santé (TS) s’occupant de patients atteints de la variante Omicron dans des contextes chirurgicaux/obstétricaux, ainsi que la perception du risque au sein de ce groupe.

On-site quantification and infection risk assessment of airborne SARS-CoV-2 virus via a nanoplasmonic bioaerosol sensing system in healthcare settings

Source : Advanced Science.
La quantification sur site et l’évaluation du risque d’infection à un stade précoce du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) en suspension dans l’air avec une haute résolution spatio-temporelle constituent une approche prometteuse pour atténuer la propagation de la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19) et éclairer les décisions visant à sauver des vies. Nous présentons ici un système de collecte de bioaérosols assisté par condensation (croissance hygroscopique) et de détection photothermique plasmonique (CAPS) pour l’analyse quantitative des risques sur site des aérosols chargés de virus SRAS-CoV-2.

SARS-CoV-2 indoor environment contamination with epidemiological and experimental investigations

Source : Indoor Air.
Le SRAS-CoV-2 a été détecté à la fois dans l’air et sur les surfaces, mais des questions subsistent quant aux facteurs environnementaux et spécifiques aux patients qui affectent la transmission du virus. En outre, des informations plus détaillées sur l’échantillonnage viral de l’air sont nécessaires. Cette étude de cohorte prospective présente les résultats d’échantillons d’air et de surface prélevés dans l’environnement de patients hospitalisés et de patients indexés COVID-19 traités à domicile et compare les résultats entre les environnements mesurés et les facteurs liés aux patients.

Face masks affect emotion categorisation, age estimation, recognition, and gender classification from faces

Source : Cognitive Research: Principles and Implications.
Bien que le port d’un masque sur le nez et la bouche soit un moyen simple mais efficace de se protéger et de protéger les autres lors d’une pandémie, les masques faciaux peuvent interférer avec la façon dont nous nous percevons et nous reconnaissons les uns les autres, et peuvent donc avoir des répercussions importantes sur la communication et les interactions sociales. À ce jour, on ignore encore dans quelle mesure le port d’un masque facial qui dissimule la partie inférieure du visage affecte l’extraction de différentes informations faciales.