Source : Journal of Occupational and Environmental Hygiene.
Cette étude a évalué l’efficacité des méthodes de nettoyage des surfaces à base de détergent contre le virus de l’hépatite murine A59 (MHV) comme coronavirus de substitution pour le SRAS-CoV-2.
Source : Journal of Occupational and Environmental Hygiene.
Le COVID-19 a créé des pénuries d’équipements de protection individuelle. Dans les situations où les ressources sont limitées, les centres américains de contrôle et de prévention des maladies recommandent des cycles limités de désinfection et l’utilisation prolongée des gants afin de préserver les stocks. Cependant, ces directives sont basées sur des preuves limitées. Dans cette étude, des cycles sériels d’hygiène des mains ont été réalisés sur des mains gantées à l’aide d’une friction à base d’éthanol (six et dix cycles), d’une solution d’hypochlorite de sodium (eau de Javel) à 0,1 % (dix cycles) ou de savon et d’eau (dix cycles) sur des gants d’examen médical en latex et en nitrile provenant des États-Unis et de l’Inde. Un test de fuite d’eau modifié a permis d’évaluer l’intégrité des gants après des applications répétées de ces agents désinfectants.
Source : Journal of Occupational and Environmental Hygiene.
De nombreux professionnels de la santé ont été contraints, en raison de pénuries aiguës, de prolonger l’utilisation des gants d’examen médical au-delà de leur usage unique prévu. Malgré le peu de documentation disponible, le CDC a proposé une série de directives pour l’utilisation répétée des gants d’examen, indiquant un nombre maximum de traitements pour trois désinfectants largement disponibles. Cette étude examine comment ces traitements affectent les propriétés mécaniques des gants en latex et en nitrile.
Source : Institut national de santé publique du Québec
Ce rapport présente les résultats finaux de l’enquête épidémiologique menée chez les travailleurs de la santé (TdeS) infectés par le SRAS-CoV-2 entre le 1er mars 2020 et le 29 mai 2021. Les objectifs sont de : 1) décrire l’évolution des caractéristiques des TdeS infectés par le SRAS-CoV-2 et, 2) identifier les facteurs liés au milieu de travail qui peuvent augmenter ou réduire le risque pour ces travailleurs. Les résultats sont présentés selon les 3 phases de l’enquête : du 1er mars au 15 juin 2020 (phase 1), du 12 juillet 2020 au 16 janvier 2021 (phase 2) et du 17 janvier au 29 mai 2021 (phase 3)
Source : Hospital Employee Health.
Bien que les établissements de santé aient été submergés par le COVID-19 en 2020, les taux globaux de blessures par objets tranchants et d’expositions cutanéo-muqueuses chez les travailleurs de la santé sont restés relativement stables, rapporte l’International Safety Center.
Source : Hospital Employee Health.
Dans ce qui pourrait constituer un précédent pour des poursuites similaires intentées par des États, selon lesquelles l’obligation fédérale d’administrer le vaccin COVID-19 provoquera un exode du personnel de santé, un juge fédéral a rejeté ces arguments, les qualifiant de « spéculatifs » et de « ouï-dire », en refusant à la Floride une injonction préliminaire visant à empêcher l’application de cette obligation.
Source : Hospital Employee Health.
Invoquant la pénurie nationale d’infirmières et d’autres problèmes, 22 États se sont joints à deux actions en justice distinctes pour demander à l’administration Biden et aux Centers for Medicare & Medicaid Services d’arrêter de rendre obligatoire la vaccination par le COVID-19 pour les travailleurs de la santé.
Source : Hospital Employee Health.
L’omicron provoquant des taux d’infection beaucoup plus élevés que les variantes précédentes de COVID-19, on craint que les travailleurs de la santé infectés ne doivent s’isoler dans un contexte de pénurie de personnel infirmier. La recommandation précédente de 10 jours a été modifiée pour passer à 7 jours, voire moins dans certaines conditions.
Source : Hospital Employee Health.
Certains se demandent si les injections de rappel ne sont pas contraires à l’éthique d’un point de vue global, et même contre-productives pour mettre fin à la pandémie, car des variantes hautement mutées continueront à apparaître chez les patients non vaccinés.
Source : American Journal of Infection Control.
L’utilisation clinique des téléphones mobiles a augmenté de façon exponentielle. Bien que les preuves de contamination soient documentées, un facteur clé pour déterminer les risques potentiels de contamination est d’établir la durée pendant laquelle l’organisme reste viable sur l’appareil. S’il s’avère que les agents pathogènes persistent pendant une période prolongée, les téléphones mobiles de soins de santé peuvent devenir des fomites pour la transmission interdépartementale.