Comparing Training Techniques in Personal Protective Equipment Use

Source : Prehospital and Disaster Medicine.
La gestion par les médecins des incidents impliquant des matières dangereuses (HAZMAT) nécessite l’utilisation d’équipements de protection individuelle (EPI) pour assurer la sécurité des victimes, des installations et des prestataires ; il est donc essentiel de fournir une formation efficace et accessible sur leur utilisation. Si l’accent a été mis sur l’importance des EPI, les méthodes de formation les plus efficaces font l’objet d’un débat. Les circonstances peuvent ne pas permettre une démonstration traditionnelle en personne ; une formation vidéo accessible peut constituer une alternative utile. Hypothèse : La formation vidéo des résidents en médecine d’urgence (MU) à l’enfilage et à l’enlèvement des EPI de niveau C est plus efficace que la formation en personne Hypothèse nulle : La formation vidéo des résidents en MU à l’enfilage et à l’enlèvement des EPI de niveau C est tout aussi efficace que la formation en personne.

Considérations réglementaires sur la classification des masques non médicaux et couvre-visages : avis à l’industrie

Source : AEM
Le présent avis explique les circonstances dans lesquelles les masques non médicaux et les couvre-visages seraient assujettis au cadre réglementaire applicable aux instruments médicaux pendant la pandémie de COVID-19.

Injection Molded Autoclavable, Scalable, Conformable (iMASC) system for aerosol-based protection: a prospective single-arm feasibility study

Source : BMJ Open.
Objectif Développer et tester un nouveau masque respiratoire filtrant réutilisable et stérilisable, comparable au masque N95, connu sous le nom de système iMASC (Injection Molded Autoclavable, Scalable, Conformable), étant donné le besoin urgent d’équipements de protection individuelle dans les établissements de santé pendant la pandémie COVID-19.

Clinical Issues—May 2020

Source : AORN Journal.
Utilisation de l’analyse des modes de défaillance et de leurs effets pour améliorer l’approvisionnement en implants de commande spéciale — Stress thermique chez le personnel périopératoire — Prévention de la thromboembolie veineuse chez les patients ayant subi une chirurgie bariatrique — Désinfection des chariots de cas à l’aide de systèmes de lumière ultraviolette

Guidelines in Practice: Surgical Attire

Source : AORN Journal.
Les tenues chirurgicales constituent une barrière contre les microorganismes qui se détachent de la peau et des cheveux des travailleurs de la santé afin de protéger les patients et de promouvoir un environnement propre. Le guide de l’AORN sur la tenue chirurgicale comprend des recommandations sur le choix, le port et le nettoyage de la tenue chirurgicale qui sont fondées sur les données les plus fiables disponibles. Les recommandations sont classées en tant qu’exigence réglementaire, recommandation, recommandation conditionnelle ou aucune recommandation selon le niveau de preuve, une évaluation des avantages et des inconvénients de la mise en œuvre d’interventions spécifiques et la prise en compte des ressources nécessaires à la mise en œuvre des interventions. Cet article traite des recommandations relatives au lavage de la tenue chirurgicale, au port de vêtements à manches longues et au port de couvre-chefs. Un scénario fournit un exemple dans lequel une équipe interdisciplinaire de l’établissement utilise une analyse des lacunes et une évaluation des risques pour prioriser les changements de processus pour la mise en œuvre de la ligne directrice. Le personnel périopératoire doit examiner l’ensemble de la ligne directrice pour obtenir des informations supplémentaires et des conseils lors de la création et de la mise à jour des politiques et des procédures.

Gestion des déchets issus des protections pour adultes incontinents au cours de l’épidémie de Covid-19

Source : HCSPHaut Conseil de la Santé Publique
Le HCSP émet un avis sur la gestion des déchets issus des protections pour adultes incontinents de cas possibles, probables et confirmés Covid-19 produits dans les établissements de santé, les établissements médico-sociaux et à domicile. Le pourcentage de personnes incontinentes nécessitant des protections pour adultes affecte jusqu’à 17 % des personnes vivant en communauté et 50 % de celles en institution et les études révèlent qu’environ 2 à 10 % des patients confirmés comme infectés par le SARS-CoV-2 présentent des signes digestifs, en particulier les personnes âgées. En période épidémique, il ne peut donc être exclu que du SARS-CoV-2 soit éliminé dans les selles, mais le niveau d’infectiosité en lien avec cette excrétion est à ce jour mal caractérisé. La durée dans le temps de l’infectiosité du virus est conditionnée par plusieurs paramètres comme le type de support, l’humidité résiduelle, la température, la quantité de liquide biologique et la concentration virale initiale. Le HCSP recommande d’éliminer ces déchets : dans les établissements de santé et les établissements médico-sociaux, par la filière des déchets d’activités de soins à risques infectieux (DASRI) de ces établissements, déjà mise en place pour les déchets issus de patients infectés ou susceptibles d’être infectés par le SARS-CoV-2, afin notamment d’en faciliter l’organisation, sans les distinguer des autres DASRI produits par l’établissement ; et pour les personnes maintenues à domicile, par la filière des déchets ménagers.

Implementation of an Elastomeric Mask Program as a Strategy to Eliminate Disposable N95 Mask Use and Resterilization: Results from a Large Academic Medical Center

Source : Journal of the American College of Surgeons.
La pandémie mondiale de COVD-19 a entraîné une forte demande d’équipements de protection individuelle pour les travailleurs de la santé. Les respirateurs N-95, nécessaires pour effectuer des procédures d’aérosolisation, sont rares et leur coût a considérablement augmenté. L’absence d’une fin claire à la pandémie exige que les hôpitaux créent une solution à long terme et rentable à la pénurie de N95. Nous avons initialement utilisé les méthodes décrites précédemment pour réutiliser et restériliser les masques N95, mais nous avons constaté qu’elles ne permettaient pas de résoudre les problèmes liés aux tests d’ajustement juste à temps et au coût.

Covid-19 Pandemic: What Changes for Dentists and Oral Medicine Experts? A Narrative Review and Novel Approaches to Infection Containment

Source : International Journal of Environmental Research and Public Health.
Les auteurs ont effectué une analyse narrative du syndrome respiratoire aigu sévère – CoronaVirus-2 ( SARS-CoV-2) et de tous les agents infectieux avec les principaux paramètres pour illustrer les modèles les plus acceptés de protocoles de sécurité en dentisterie et en médecine bucco-dentaire, et pour proposer une vue d’ensemble du problème et une comparaison (avant et après la COVID19) pour les procédures dentaires les plus courantes. Les résultats devraient aider les dentistes à identifier, pour une procédure donnée, les différences en termes de protocoles de sécurité pour éviter la contagion infectieuse (par le SRAS-CoV-2 et d’autres agents dangereux). Une enquête a été menée sur les bases de données en ligne Pubmed et Scopus en utilisant une combinaison de mots libres et de Medical Subject Headings (MESH). Après un bref excursus sur tous les agents infectieux transmissibles au fauteuil dentaire, les auteurs ont décrit tous les équipements de protection individuelle (EPI) actuellement sur le marché et leurs indications, et sur la base de la littérature, ils ont comparé (avant et après l’apparition de COVID-19) les procédures de sécurité correctes pour chaque cabinet dentaire étudié, en soulignant le danger de sous-estimer, en général, les infections croisées dentaires. Les auteurs ont souligné l’importance de connaître exactement le risque d’infections dans le cabinet dentaire, et de moduler correctement l’utilisation des EPI, afin d’investir les ressources financières adéquates et d’éviter d’exposer l’équipe dentaire et les patients à des risques évitables. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Physical distancing, face masks, and eye protection to prevent person-to-person transmission of SARS-CoV-2 and COVID-19: a systematic review and meta-analysis

Source : The Lancet.
Le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) provoque la COVID-19 et se transmet de personne à personne par contact étroit. Nous avons cherché à étudier les effets de la distance physique, des masques faciaux et de la protection des yeux sur la transmission du virus dans les établissements de santé et autres (par exemple, dans la communauté).

Physical distancing, face masks, and eye protection for prevention of COVID-19

Source : The Lancet.
Le choix des divers mécanismes de protection respiratoire, y compris les masques faciaux et les respirateurs, a été une question délicate, de la pandémie de grippe H1N1 de 2009 à l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest de 20141, en passant par la pandémie actuelle de COVID-19. Les directives COVID-19 publiées par l’OMS, les Centers for Disease Control and Prevention américains et d’autres agences ont été cohérentes sur la nécessité d’une distance physique de 1 à 2 m mais contradictoires sur la question de la protection respiratoire avec un masque facial ou un respirateur. Cette divergence reflète des preuves incertaines et l’absence de consensus sur le mode de transmission du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2).