Les rideaux séparateurs porteurs de nombreuses bactéries résistantes, selon une étude
Source : Profession Santé
Une étude montre que 22% des rideaux séparateurs des établissements de santé abritent des bactéries multirésistantes.
Source : Profession Santé
Une étude montre que 22% des rideaux séparateurs des établissements de santé abritent des bactéries multirésistantes.
Source : Archives of Industrial Hygiene and Toxicology.
Les travailleurs de la santé qui préparent ou administrent des agents cytotoxiques courent un risque d’exposition et les risques pour la santé sont réels, même à des doses inférieures à celles appliquées chez les patients cancéreux, car aucune dose n’est théoriquement sûre. La voie d’exposition la plus courante et la plus problématique est la peau, notamment parce que les surfaces de travail peuvent rester contaminées même après le nettoyage. Cette étude pilote visait à démontrer l’importance d’un protocole efficace de décontamination de surface en déterminant la contamination de surface par trois médicaments cytotoxiques courants dans le cadre d’un service de jour en oncologie.
Source : Toxicology Letters.
Dans cette étude, une surveillance en surface dans un service d’oncologie et une surveillance simultanée de l’urine de l’ensemble du personnel de santé ont été effectuées pendant cinq jours consécutifs pour trois substances présents dans les médicaments cytotoxiques. Alors qu’un degré de contamination a été détectée sur toutes les surfaces, les échantillons d’urine étaient inférieurs aux limites de détection lorsque les gants étaient portés régulièrement, indiquant que les gants peuvent constituer une mesure de protection importante contre l’absorption cutanée de ces médicaments.
Source : Toxicology Letters.
L’utilisation de médicaments cytotoxiques pose un risque professionnel pour le personnel de la salle d’opération. Cette étude a examiné l’exposition potentielle du personnel médical par des mesures de biosurveillance et de contamination de surface, au cours d’une procédure de chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale (HIPEC) et d’une procédure de chimiothérapie aérosol intrapéritonéale sous pression (PIPAC) sous pression. Il semble y avoir peu de risque d’exposition aux médicaments à base de platine au cours des négociations HIPEC et PIPAC, à condition que les mesures de sécurité adéquates soient mises en œuvre.