Risk of tripping, minimum foot clearance, and step length when crossing a barrier

Source : International Journal of Industrial Ergonomics.
Cette étude a été conçue pour étudier les paramètres de la démarche lors du franchissement d’une barrière et les facteurs environnementaux influençant la perception du risque de trébuchement. Ces facteurs comprennent l’éclairage et les conditions de la barrière. Les conditions de la barrière ont été divisées en hauteur, type et couleur de la barrière. Les conditions d’illumination comprenaient des conditions normales et des conditions de gradation. Douze participants masculins ont été recrutés. Ils ont marché sur une passerelle, en passant au-dessus d’une barrière. Ils ont donné une évaluation subjective du risque de trébuchement (SRRT) avant et après la marche. Un assistant de recherche a enregistré une évaluation de la perturbation de la marche (GDR) du participant lors du franchissement de la barrière. Le dégagement minimal du pied (MFC) du pied avant et du pied arrière lors du passage de la barrière, ainsi que la longueur du pas du participant avant et après le passage de la barrière ont été calculés.

Échelles et escabeaux : comment éviter les chutes

Source : Prévention au travail.
À première vue, l’utilisation d’une échelle semble fort simple. Mais mal utilisée, elle peut être responsable d’accidents causant des lésions, et parfois même la mort. Les chutes de hauteur demeurent encore aujourd’hui l’une des principales causes d’accidents au Québec. De 2009 à 2013, 20 % des lésions ainsi produites ont été causées par la chute d’une échelle

Outil d’autodiagnostic (audit) pour l’application du cadenassage

Source : IRSST
Dans le cadre du projet de recherche Étude sur la pratique du cadenassage sur des machines, l’IRSST, en collaboration avec Polytechnique Montréal, a mis au point un outil d’autodiagnostic pour l’application du cadenassage. L’outil comprend deux étapes, le préaudit (préparation) et l’audit lui-même. Avant de commencer, l’auditeur doit sélectionner un équipement et/ou une tâche. Il s’agit d’un outil générique, basé sur les obligations du règlement en santé et en sécurité du travail (RSST) et les recommandations de la norme CSA Z460 (2013) sur le cadenassage. Il est possible d’ajuster cet outil aux besoins spécifiques des utilisateurs, si les obligations réglementaires sont respectées.

A Guide to Choosing New Laboratory Flooring

Source : Lab Manager, 2021-03-03.
Ce qu’il faut savoir avant d’envisager un nouveau revêtement de sol pour votre laboratoire ou votre salle blanche : résistance au glissement, propriétés ergonomiques, exigences en matière de COV et de particules, produits chimiques à tester, portabilité, sous-planchers.

Chutes, glissades et trébuchements : de nouveaux outils pour la prévention

Source : APSAM
Les chutes, glissades et trébuchements sont parmi les accidents de travail les plus fréquents dans le secteur municipal. Entre 2016 et 2018, en moyenne, environ 30% des lésions indemnisées par la CNESST étaient liées à ce genre d’événement. En raison de la fréquence et de la gravité des chutes de même niveau, la CNESST a d’ailleurs retenu ce risque dans sa planification pluriannuelle en prévention-inspection (2020-2023), et ce, pour tous les secteurs d’activité. Soucieuse de continuer à soutenir sa clientèle dans la prise en charge du risque de chutes, glissades et trébuchements, l’APSAM annonce la mise en ligne d’outils abordant la sortie sécuritaire d’un véhicule, particulièrement en période hivernale.

Les commerces de bouche (Dossier)

Source : Travail & Sécurité.
Boulangers, pâtissiers, confiseurs, glaciers, bouchers, charcutiers, poissonniers, commerces alimentaires de proximité…Dans les commerces de bouche, les salariés sont exposés à de nombreux risques professionnels. Pour les prévenir, l’INRS et l’Assurance maladie – risques professionnels se sont engagés, avec les organisations professionnelles, dans la production d’outils adaptés aux spécificités de chacun. Titres du dossier : Une recette complexe pour des identités multiples; L’histoire d’une renaissance; Une réussite sur toute la ligne; L’aménagement a été pensé en équipe; La rénovation est fondée sur l’expérience; Un projet d’agrandissement… tout sucre, tout miel; Les coulisses des grands festins.

Risque d’être frappé, coincé ou écrasé par un objet ou de l’équipement : comment se protéger?

Source : Convergence SST.
Lorsqu’on m’a demandé d’écrire sur le risque d’être frappé, coincé ou écrasé par un objet ou de l’équipement, j’ai immédiatement pensé au concept de zone dangereuse. Pour être frappé, coincé ou écrasé de la sorte, il faut que notre corps, ou une partie de celui-ci, se situe dans la zone dangereuse de cet objet ou de cet équipement. Autrement dit, dans la trajectoire qu’il peut prendre si un événement imprévu survient. Si je me donne un coup de marteau sur le doigt en plantant un clou, c’est que mon marteau a dévié de la trajectoire prévue. Mon doigt était dans cette zone dangereuse où il était possible — et probable, dans mon cas — que je rate la tête du clou.

Qu’importe votre milieu de travail, ne prenez pas les chutes de même niveau à la légère!

Source : Convergence SST.
Qui n’a jamais été victime ou témoin d’une chute de même niveau? Ce type de chute est reconnu comme étant l’un des accidents les plus courants dans toute entreprise. La plupart de ces événements fâcheux sont souvent qualifiés de légers, de banals, de ridicules ou de drôles. Mais attention! Ils peuvent entraîner des blessures sérieuses telles les contusions, les foulures, les entorses, les luxations, ou même des lésions graves : fractures, traumatismes crâniens, commotions cérébrales… et parfois même, la mort.

Fabrication additive ou impression 3D utilisant des matières plastiques – Brochure – INRS

Source : INRS France
En plus des risques classiques associés à toute activité industrielle, la fabrication additive utilisant des matières plastiques comporte des risques spécifiques liés aux produits mis en oeuvre ou générés. Les opérations annexes, comme la préparation et la récupération des matières plastiques, la récupération et la finition des objets fabriqués, et la maintenance peuvent être plus exposantes que la fabrication proprement dite. Pour la majorité des matières plastiques, le risque chimique s’accompagne également du risque d’incendie et d’explosion. Les principales solutions de prévention visent à limiter l’exposition par le travail en circuit fermé, par le captage des polluants et par l’organisation du travail.