Working on a warmer planet: The effect of heat stress on productivity and decent work

Source avec lien : ILO, 7/1/2019.

L’Organisation internationale du Travail (OIT) estime que d’ici 2030 plus de 2 % du total des heures de travail dans le monde seront perdues chaque année, soit parce qu’il fait trop chaud pour travailler, soit parce que le travail devra se faire à un rythme plus lent. En effet, le stress thermique, l’une des conséquences du réchauffement climatique, deviendra un obstacle à l’activité économique selon une étude récemment menée par l’OIT. Le rapport montre les tendances des températures dans les régions et pays à risque, ainsi que du marché du travail afin de montrer l’impact du stress thermique sur la productivité et les conditions de travail. L’OIT a formulé des recommandations aux gouvernements, aux employeurs et aux travailleurs à propos de la réglementation et des changements de comportement, de l’infrastructure et de la technologie à mettre en place, ainsi que du développement des compétences.

(Complete report) The phenomenon of heat stress refers to heat received in excess of that which the body can tolerate without physiological impairment. It is one of the major consequences of global warming. By 2030, the equivalent of more than 2 per cent of total working hours worldwide is projected to be lost every year, either because it is too hot to work or because workers have to work at a slower pace. This report shows the impact of heat stress on productivity and decent work for virtually all countries in the world. It presents innovative solutions based on social dialogue to promote occupational safety and health for the most vulnerable groups of workers.

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