Source : The Pan African Medical Journal.
Les agents de santé communautaires jouent un rôle important dans la lutte contre la propagation du COVID-19. Cette étude s’est donc penchée sur les connaissances, l’attitude et l’adhésion à la pratique des protocoles de prévention du COVID-19 parmi les agents de santé communautaire dans certains États du Nigeria.
Source : Institut national de santé publique
La mise à jour des recommandations contenues dans ce document est basée sur la littérature scientifique disponible concernant le variant Omicron (et ses sous-lignées) et peut changer selon l’évolution des connaissances.
Source : American Journal of Industrial Medicine.
Des études récentes ont évalué les épidémies de COVID-19 et la surmortalité par secteurs professionnels. Les études sur l’infection par le SRAS-CoV-2 selon la profession et les facteurs liés à la profession font toujours défaut. Dans cette étude, nous estimons l’effet du travail en personne sur le risque d’infection par le SRAS-CoV-2 et décrivons la séroprévalence du SRAS-CoV-2 chez les adultes qui travaillent.
Source : Annals of Work Exposures and Health.
La pandémie de COVID-19 a incité certains régulateurs aux États-Unis à exiger des programmes de santé et de sécurité au travail pour prévenir la transmission du COVID-19 sur les lieux de travail. L’objectif de cette étude était de décrire ces réglementations étatiques et fédérales promulguées entre janvier 2020 et janvier 2022.
Source : Emerging Infectious Disease journal.
L’Organisation mondiale de la santé préconise une approche multimodale pour améliorer les mesures de prévention et de contrôle des infections (IPC), que le Kenya a adoptée en réponse à la pandémie de COVID-19. Le ministère de la Santé du Kenya a formé un comité national IPC chargé de la direction politique et technique, de la coordination, de la communication et de la formation.
Source : Industrial Health.
Les données sur les principales professions ou lieux de travail signalant des cas de COVID-19 sur les lieux de travail entre janvier 2020 et juillet 2021 ont été recueillies auprès de professionnels de l’hygiène industrielle dans neuf pays. La proportion de travailleurs représentait de 39,1 à 56,6 % de la population dans chaque pays. Le nombre de travailleurs couverts par les statistiques nationales varie selon les nations en fonction de leur définition du travailleur. La plupart des pays ont connu des grappes de cas de COVID-19 parmi les travailleurs de la santé et des services sociaux (HSCW) dans les hôpitaux ou les établissements de soins de longue durée. Les types de professions ou de lieux de travail présentant des grappes de virus dans certains pays participants comprenaient les prisons, les centres d’appels, les lieux de travail employant des immigrants, les ateliers de confection, les épiceries et l’armée, ce qui différait d’un pays à l’autre, à l’exception de quelques professions communes telles que les travailleurs de la santé et des services sociaux et celles peuplées d’immigrants.
Source : BMC Health Services Research.
Il existe peu de données sur les perceptions et les expériences des hygiénistes dentaires qui naviguent dans les nouvelles lignes directrices pour les soins d’hygiène dentaire pendant la pandémie. Par conséquent, l’objectif de notre étude était d’explorer, par le biais d’une analyse thématique descriptive, comment les hygiénistes dentaires ont vécu et perçu : i) la pratique de l’hygiène dentaire pendant la pandémie de COVID-19, et ii) les directives COVID-19 de leur organisme de réglementation.
Source : medRxiv.
Cette étude avait pour but d’étudier les différences professionnelles dans l’utilisation des principales mesures d’atténuation liées au travail au fil du temps, et d’étudier les perceptions des travailleurs sur ces mesures.
Source : Journal of Occupational and Environmental Medicine.
Cette étude clarifie la mauvaise estimation potentielle du risque professionnel causée par la dichotomie entre les professions essentielles et non essentielles en première ligne dans les études précédentes.
Source : INSPQ
Lors de sa première publication en janvier 2022, le présent document n’avait pas été revu dans son entièreté compte tenu de la nécessité de rendre disponible rapidement des recommandations à appliquer dans le contexte d’émergence rapide du variant Omicron. À la lumière des données scientifiques sur la protection conférée par une infection antérieure ou par la vaccination contre une infection par le variant Omicron et ses sous-lignées, une révision du document a été effectuée en septembre 2022.