Study links inadequate PPE, COVID-19 infection controls to worker mental health issues

Source : Safety & Health, 12/14/2020.
Les sentiments d’anxiété et de dépression étaient plus élevés chez les travailleurs dont les besoins perçus en matière d’équipement de protection individuelle et de contrôle des infections n’ont pas été satisfaits au cours des premiers mois de la pandémie COVID-19, selon les résultats d’une récente étude menée hors du Canada.

L’association entre le caractère adéquat perçu des procédures de contrôle des infections au travail et de l’équipement de protection personnel pour les symptômes de santé mentale. Un sondage transversal des travailleurs de la santé canadiens durant la pandémie COVID-19

Source : The Canadian Journal of Psychiatry, 9/21/2020.
Cette étude avait pour objectif d’examiner la relation entre le caractère adéquat perçu de l’équipement de protection personnel (EPP) et les procédures de contrôle des infections (PCI) en milieu de travail et les symptômes de santé mentale au sein d’un échantillon de travailleurs de la santé du Canada, dans le contexte de la pandémie COVID-19 en cours. Nos résultats suggèrent qu’un resserrement des stratégies de contrôle des infections par l’employeur a probablement des implications importantes pour les symptômes de santé mentale chez les travailleurs de la santé du Canada.

Emergency Healthcare Providers’ Perceptions of Preparedness and Willingness to Work during Disasters and Public Health Emergencies

Source : Healthcare, décembre 2020.
Cette étude évalue les perceptions de la préparation et de la volonté de travailler lors de catastrophes et d’urgences de santé publique, en utilisant une enquête quantitative (Fight or Flight). La volonté des participants de travailler sans condition lors de catastrophes et de situations d’urgence varie selon le type de situation. La volonté de travailler pendant la pandémie de SRAS/COVID-19 (43,56 %) est moindre que celles lors de catastrophes naturelles (61,97%), mais plus que suite aux fusillades de masse (37,56 %), incidents chimiques ou menaces d’attentats à la bombe (31,92 %), entre autres. Le manque de confiance et l’absence d’assurance de sécurité pour les travailleurs de la santé et les membres de leur famille ont été les principales raisons citées.