Impression 3D quels effets sur les travailleurs?
Source : Prévention au travail.
Les travailleurs qui ont recours à la fabrication additive, ou impression 3d, devraient être sur leurs gardes, souligne une étude financée par l’irsst.
La veille informationnelle de l'ASSTSAS
Source : Prévention au travail.
Les travailleurs qui ont recours à la fabrication additive, ou impression 3d, devraient être sur leurs gardes, souligne une étude financée par l’irsst.
Source : IRSST : Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail
Cette conférence, présenté par Mohamed Zemzem, chercheur postdoctoral affilié à l’École de santé publique de l’Université de Montréal, propose un survol des différentes techniques de fabrication additive existantes ainsi que sur les matériaux utilisés pour l’impression 3D.
Source : IRSST
Que ce soit dans les transports, l’énergie, la défense et l’aérospatiale, ou la santé, la fabrication additive, communément appelée impression 3D, est de plus en plus présente. Toutefois, il reste difficile d’identifier les professions affiliées et d’évaluer le nombre de travailleurs touchés par cette nouvelle technologie.
Source : Références en santé au travail.
La fabrication additive, ou impression 3D, consiste à ajouter de la matière pour former une pièce. Ce procédé se développe considérablement. Outre les risques classiques de toute activité industrielle, il expose à des risques spécifiques liés aux produits utilisés, mais aussi à ceux émis par ce procédé. Après avoir décrit succinctement les différentes technologies de fabrication additive, cet article présente les risques spécifiques à chacune d’elles et les moyens d’en prévenir les effets sur la santé.
Source : Annals of Work Exposures and Health.
L’application généralisée des technologies de fabrication additive (AM), communément appelées impression tridimensionnelle (3D), dans les secteurs de l’industrie et des entreprises à domicile, et l’augmentation prévue du nombre de travailleurs et de consommateurs qui utilisent ces dispositifs, ont suscité des inquiétudes quant aux éventuelles conséquences sur la santé des émissions de l’impression 3D. Afin d’éclairer les processus d’évaluation et de gestion des risques, la présente étude évalue les données disponibles concernant l’évaluation de l’exposition sur les lieux de travail AM et les effets possibles des émissions de l’impression 3D sur les humains, identifiés par des modèles in vivo et in vitro, afin d’éclairer les processus d’évaluation et de gestion des risques. La littérature évaluée par des pairs a été identifiée dans les bases de données Pubmed, Scopus et ISI Web of Science. La littérature a démontré qu’une fraction importante des particules libérées lors de l’impression 3D pouvait se situer dans la gamme des tailles ultrafines. En fonction de la composition du matériau additif, des niveaux accrus de métaux et de composés organiques volatils ont pu être détectés pendant les opérations d’AM, par rapport aux niveaux de fond. Les phases AM, les tâches spécifiques effectuées et les mesures préventives adoptées peuvent toutes avoir une incidence sur les niveaux d’exposition. En ce qui concerne les effets possibles sur la santé, les émissions des imprimantes ont d’abord été signalées comme affectant le système respiratoire des travailleurs concernés. Le nombre limité d’études sur le lieu de travail, ainsi que la grande variété de techniques AM et de matériaux additifs utilisés, limitent la généralisation des caractéristiques d’exposition. C’est pourquoi il convient de concentrer davantage d’efforts scientifiques sur la compréhension des sources, de l’ampleur et des effets possibles sur la santé des expositions afin de mettre au point des processus appropriés pour l’évaluation et la gestion des risques professionnels des technologies AM.
Source : BMC Health Services Research.
Pour faire face aux pénuries de matériel pendant la pandémie COVID-19, nous avons mis en place un système de bout en bout à but non lucratif pour identifier, valider, réglementer, fabriquer et distribuer du matériel médical imprimé en 3D. Nous décrivons ici l’impact local et mondial de ce système.
Source : NIOSH Science Blog
La transformation additive, communément appelée impression 3D, est de plus en plus répandue dans l’industrie. Les industries de l’automobile, de l’aérospatiale, des dispositifs médicaux et de l’électronique l’utilisent déjà, et on s’attend à ce que les applications biomédicales augmentent. Un nouvel article de chercheurs du NIOSH, publié dans le Journal of Occupational and Environmental Hygiene, met en lumière les procédés de transformation additive, identifie les dangers potentiels et discute des besoins de recherche pour protéger les travailleurs.
Source : Health and safety executive
Les imprimantes 3D ‘de bureau’ abordables utilisent des filaments pour déposer le polymère à travers une buse chauffée afin de construire des objets tridimensionnels. Ce type d’imprimante n’est généralement pas enfermé et, selon certaines études elles pourraient dégager des vapeurs et des particules potentiellement nocives. La base de preuves scientifiques sur les expositions et les effets potentiels sur la santé est en cours d’élaboration à l’échelle internationale. Ce rapport décrit les recherches initiales effectuées en laboratoire pour a) mesurer les émissions de particules et de composés organiques volatils provenant d’imprimantes 3D de bureau et b) étudier l’efficacité des mesures de contrôle visant à réduire ces émissions.