Strategies for Optimizing the Supply of N95 Respirators: Crisis/Alternate Strategies

Source : Centers for Disease Control and Prevention
Ce document des CDC (États-Unis) présente des stratégies alternatives visant à augmenter la capacité d’intervention en cas de crise. Elles accompagnent et s’appuient sur les stratégies conventionnelles et les stratégies de capacité d’intervention. Les mesures suivantes ne sont pas à la hauteur des normes de soins actuelles des États-Unis. Toutefois, il peut être nécessaire d’envisager des mesures individuelles ou une combinaison de ces mesures pendant les périodes de pénurie de respirateurs N95 prévue ou connue…

Rational use of face masks in the COVID-19 pandemic

Source : The Lancet Respiratory Medicine.
Depuis l’apparition du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2), le virus qui a causé la maladie coronavirus 2019 (COVID-19), l’utilisation de masques faciaux a deviennent omniprésents en Chine et dans d’autres pays asiatiques comme la Corée du Sud et le Japon. Certaines provinces et municipalités chinoises ont mis en place des politiques de masques obligatoires dans les lieux publics ; toutefois, la directive nationale chinoise a adopté une approche fondée sur les risques en proposant des recommandations sur l’utilisation des masques de protection pour les travailleurs de la santé et les le grand public.

Évaluation de l’exposition des travailleurs au bruit en considérant l’atténuation fournie par les protecteurs auditifs: avis scientifique

Source : Institut national de santé publique du Québec
Le présent avis est issu d’un document de travail produit en 2016, revu et ajusté en 2019. Il a été réalisé dans le cadre des travaux relatifs à une demande du ministère de la Santé et des Services sociaux relativement à une analyse de la faisabilité d’une politique publique nationale de lutte contre le bruit au Québec, tant environnemental qu’en milieu de travail

Prévention et contrôle de la maladie à coronavirus (COVID-19) : Lignes directrices provisoires pour les établissements de soins actifs

Source : Agence de la santé publique du Canada
L’Agence de la santé publique du Canada (l’Agence) élabore des lignes directrices sur la prévention et le contrôle des infections (PCI) afin de formuler des recommandations fondées sur des données probantes venant compléter les efforts en santé publique des provinces et des territoires en matière de surveillance, de prévention et de contrôle des infections liées aux soins de santé. Le présent document constitue une version provisoire des lignes directrices en matière de PCI portant sur la maladie à coronavirus (COVID-19) qui a été détecté pour la première fois à Wuhan, en Chine.

Recommandations actualisées en PCI concernant l’utilisation d’équipements de protection individuelle pour la prise en charge des personnes dont l’infection

Source : Santé publique Ontario
Principales conclusions : Compte tenu des récentes informations sur la COVID-19, des précautions contre les gouttelettes et les contacts sont recommandées pour les soins de routine des patients dont l’infection à la COVID-19 est présumée ou confirmée. Des précautions contre la transmission par voie aérienne doivent être prises lorsque des interventions médicales générant des aérosols (IMGA) sont prévues pour les patients dont l’infection à la COVID-19 est présumée ou confirmée.

PPE in Healthcare: How to Prevent Exposure and Contamination

Source : American Society of Safety Professionals
Dans la plupart des cas, on dit aux professionnels de la sécurité de commencer au sommet de la hiérarchie des contrôles lorsqu’ils traitent des dangers sur le lieu de travail. Dans le domaine de la santé, cependant, les EPI peuvent être la meilleure, et dans certains cas la seule option pour protéger les médecins, les infirmières et d’autres personnes contre les maladies. « Nous ne pouvons pas éliminer le danger parce qu’il s’agit d’un patient et nous ne pouvons pas choisir nos patients », déclare M. Worden. « Nous ne pouvons pas remplacer nos patients ou isoler les médecins et les infirmières du patient avec des contrôles techniques, donc la seule chose qu’il est possible de faire pour empêcher une infirmière ou un médecin de recevoir tous ces fluides corporels, c’est l’EPI ». Cet article propose trois concepts qui peuvent contribuer à protéger la santé et la sécurité des médecins, des infirmières, du personnel et du public.

Air, Surface Environmental, and Personal Protective Equipment Contamination by Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 (SARS-CoV-2) From a Symptomatic Patient

Source : JAMA.
Les coronavirus ont été impliqués dans des épidémies nosocomiales1 avec la contamination environnementale comme voie de transmission.2 De même, la transmission nosocomiale du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) a été signalée.3 Cependant, le mode de transmission et l’étendue de la contamination environnementale sont inconnus. Cette étude documente les résultats de tests de réaction en chaîne de la polymérase (PCR) du SRAS-CoV-2 sur des surfaces environnementales et des équipements de protection individuelle autour de 3 patients COVID-19 en chambre d’isolement dans un hôpital de Singapour.

Practical experiences and suggestions on the eagle-eyed observer, a novel promising role for controlling nosocomial infection of the COVID-19 outbreak

Source : Journal of Hospital Infection.
Nous faisons état d’une nouvelle mesure de lutte contre l’infection, l’observateur à l’oeil de lynx. Mise en place par l’équipe médicale d’urgence nationale en matière de sauvetage sur le terrain, cette mesure minimise le risque d’infection nosocomiale et fournit une protection psychologique aux travailleurs médicaux dans la lutte contre la COVID-19. Les observateurs sont de préférence du personnel ayant une grande expérience de la lutte contre les infections; ils ont reçu une formation intensive pour se familiariser avec les exigences de la lutte contre les infections dans les salles d’isolement.

Respiratory viruses may linger on health care workers, PPE: study

Source : Safety & Health.
Les travailleurs de la santé sont généralement porteurs de virus respiratoires sur leurs mains, leurs vêtements et leurs équipements de protection individuelle après avoir prodigué des soins aux patients, ce qui accentue la nécessité de pratiquer « une hygiène complète des mains et d’utiliser d’autres EPI pour prévenir la dissémination », suggèrent les résultats d’une étude récente.