Des avancées dans la prévention du risque bruit en open space

Source avec lien : Cahiers de médecine interprofessionnelle, , .

Toutes les enquêtes citent le bruit comme la principale source de nuisance et 1/4 des salariés se disent très gênés. Le niveau sonore se situe entre 50 et 60 dB(A), avec des bruits stationnaires (équipements informatiques, systèmes de ventilation), des bruits intermittents (sonneries de téléphone, bruits de passage, conversations.) Tout cela perturbe l’attention et nécessite un effort intellectuel supplémentaire pour rester concentré. Il s’ensuit fatigue cognitive, stress avec perte de sommeil, mal-être, dépression, baisse de performance, voire absentéisme. Les risques pour les salariés ne sont pas dans le lésionnel, mais dans le perceptif.

Toutes les enquêtes citent le bruit comme la principale source de nuisance et 1/4 des salariés se disent très gênés. Le niveau sonore se situe entre 50 et 60 dB(A), avec des bruits stationnaires (équipements informatiques, systèmes de ventilation), des bruits intermittents (sonneries de téléphone, bruits de passage, conversations.) Tout cela perturbe l’attention et nécessite un effort intellectuel supplémentaire pour rester concentré. Il s’ensuit fatigue cognitive, stress avec perte de sommeil, mal-être, dépression, baisse de performance, voire absentéisme. Les risques pour les salariés ne sont pas dans le lésionnel, mais dans le perceptif.

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