Source avec lien : IRSST, février 2022.
Ce projet de recherche a permis d’analyser le travail des intervenants de première ligne, soit les policiers, les paramédics et les agents correctionnels en contexte de pandémie. Plus précisément, les objectifs étaient d’identifier les risques et les bonnes pratiques, et d’évaluer l’efficacité des outils de formation en place, ainsi que leur pérennité. Ce rapport présente les résultats de cette analyse ainsi que des recommandations visant à maximiser la santé, la sécurité et la résilience de ces travailleurs en vue d’une prochaine situation de crise. (Résumé adapté du document)
En ces temps de crise pandémique, les intervenants de première ligne se trouvent en situation de vulnérabilité accrue, alors que leurs interventions se diversifient et se complexifient. L’arrivée soudaine de la pandémie de COVID-19 a ajouté une certaine incertitude exacerbée par les fréquentes mises à jour des lignes directrices, des procédures et des protocoles dans un contexte d’intervention déjà critique où les temps de décision et de réaction sont limités. Se retrouvant au front de cette crise sanitaire, ces travailleurs sont donc plus susceptibles d’en ressentir les effets. Ce projet de recherche a permis d’analyser le travail de ces intervenants, soit les policiers, les paramédics et les agents correctionnels en contexte de pandémie. Plus précisément, les objectifs étaient d’identifier les risques et les bonnes pratiques, et d’évaluer l’efficacité des outils de formation en place, ainsi que leur pérennité. Ce rapport présente les résultats de cette analyse ainsi que des recommandations visant à maximiser la santé, la sécurité et la résilience de ces travailleurs en vue d’une prochaine situation de crise.