Source avec lien : MMWR. Morbidity and Mortality Weekly Report, 71(29). 10.15585/mmwr.mm7129a4
En 2021, les travailleurs de la santé publique ont signalé des niveaux élevés de symptômes d’au moins un problème de santé mentale (dépression, anxiété ou syndrome de stress post-traumatique [SSPT]). Une enquête menée en 2022 auprès de 26 069 travailleurs de la santé publique a montré qu’une prévalence plus élevée de SSPT était associée à un plus grand nombre d’heures de travail hebdomadaires et à davantage de temps consacré aux activités d’intervention dans le cadre de l’enquête COVID-19. La plupart (75,5 %) des répondants ne pensaient pas que leur employeur augmentait le soutien à la santé mentale. Pour soutenir la santé mentale des travailleurs de la santé publique, les agences de santé publique peuvent modifier les facteurs liés au travail, notamment en apportant des changements organisationnels pour les interventions d’urgence et en facilitant l’accès aux ressources et services de santé mentale.
What is already known about this topic? In 2021, state, tribal, local, and territorial (STLT) public health workers reported high levels of symptoms of at least one mental health condition (depression, anxiety, or posttraumatic stress disorder [PTSD]). What is added by this report? In a 2022 survey of 26,069 STLT public health workers, higher PTSD prevalence was associated with more weekly work hours and more time spent on COVID-19 response activities. Most (75.5%) respondents did not think their employer increased mental health support. What are the implications for public health practice? To support the mental health of public health workers, public health agencies can modify work-related factors, including making organizational changes for emergency responses and facilitating access to mental health resources and services.