Source avec lien : Psychiatry Research, 288, 2020. 10.1016/j.psychres.2020.113024
La pandémie de COVID-19 entraînera probablement des taux élevés de SSPT, de dépression et de toxicomanie chez les survivants, les familles des victimes, le personnel médical et d’autres personnels essentiels. La réponse de la santé mentale aux attaques terroristes du 11 septembre 2001, qui s’est traduite par un programme de santé financé par le gouvernement fédéral, fournit un modèle pour la manière dont les prestataires peuvent servir les personnes touchées. En s’appuyant sur l’expérience du 11 septembre, nous mettons en évidence les mesures de prévention efficaces, les besoins probables de traitement à court et à long terme, les sous-groupes vulnérables et les points de divergence importants entre le 11 septembre et la pandémie COVID-19. La surveillance de la santé mentale, l’identification précoce des personnes à risque et le traitement indépendamment des obstacles financiers sont essentiels pour réduire au minimum la détresse chronique.
The COVID-19 pandemic will likely lead to high rates of PTSD, depression, and substance misuse among survivors, victims’ families, medical workers, and other essential personnel. The mental health response to the 9/11/01 terrorist attacks, culminating in a federally-funded health program, provides a template for how providers may serve affected individuals. Drawing on the 9/11 experience, we highlight effective prevention measures, likely short and long-term treatment needs, vulnerable subgroups, and important points of divergence between 9/11 and the COVID-19 pandemic. Mental health monitoring, early identification of at-risk individuals, and treatment irrespective of financial barriers are essential for minimizing chronic distress.