Source : Journal of Plastic, Reconstructive & Aesthetic Surgery.
Le port prolongé de masques à masque filtrant 3 (FFP3) pendant la pandémie de COVID-19 a entraîné des dermatoses, notamment des escarres. Cette étude visait à mieux comprendre l’échelle locale et la nature du problème, les stratégies d’adaptation et l’impact sur les personnes concernées.
Source : Environmental Science & Technology.
Cette étude examine la structure et la dynamique de l’évaporation des gouttelettes de salive contenant des virus sur les fomites et leur impact sur la viabilité des virus en utilisant quatre virus modèles : le virus de la stomatite vésiculaire, le virus de l’herpès simplex 1, le virus de la maladie de Newcastle et le coronavirus HCoV-OC43.
Source : American Journal of Infection Control.
Nous avons examiné la décontamination de la variante Beta du SRAS-CoV-2 sur des masques chirurgicaux et des masques réutilisables Revolution-Zero Environmentally Sustainable (RZES) en utilisant ces colorants photoactivés. Nous avons prétraité les masques chirurgicaux avec 2 concentrations de MB, 2 concentrations de RB et 2 combinaisons de MB et de RB. Nous avons également testé 7 concentrations de MB sur des masques RZES.
Source : Journal of Emergency Nursing.
Cette étude visait à comparer l’efficacité du prétraitement des lunettes de protection avec une solution iodophore et un désinfectant antibactérien pour les mains afin de réduire la formation de buée sur les lunettes de protection.
Source : Infection, Disease & Health.
Les professionnels de la santé (PSS) ont été obligés de porter des équipements de protection individuelle (EPI) pendant une pandémie afin de minimiser le risque de transmission du virus émergent. L’objectif de l’étude était d’estimer la prévalence des effets indésirables liés au port de l’EPI chez les professionnels de la santé et de déterminer leurs facteurs prédictifs.
Source : American Journal of Infection Control.
Les taux disproportionnés d’infection au COVID-19 parmi les travailleurs de la santé la nécessité d’identifier les facteurs de risque pour aider à guider la conception et la mise en œuvre d’interventions. interventions. L’objectif de cette étude était de caractériser les facteurs de risque de l’infection à COVID-19 chez les travailleurs de la santé.
Source : Journal of Hospital Infection.
Les surfaces dans les établissements de santé peuvent constituer des réservoirs d’infection. À l’heure actuelle, il n’existe aucun protocole normalisé indiquant quand et comment prélever des échantillons de surfaces hospitalières. Un questionnaire en ligne a été conçu pour mieux comprendre les pratiques d’échantillonnage actuelles et a été distribué par e-mail à un public ciblé de prévention et de contrôle des infections.
Source : BMC Health Services Research.
La pandémie de COVID-19 a entraîné une augmentation sans précédent de l’utilisation d’équipements de protection individuelle (EPI) parmi le personnel médical. L’objectif de cette étude était de déterminer les facteurs de risque et la fréquence des céphalées dues aux EPI pendant la pandémie de COVID-19.
Source : Clinical Infectious Diseases.
De septembre 2020 à mai 2021, le département des services de santé du Wisconsin a recueilli des données sur les professions et les industries dans le cadre des enquêtes de routine sur les cas de COVID-19. Les adultes âgés de 18 à 64 ans présentant un COVID-19 confirmé ou probable au Wisconsin se sont vus attribuer des codes de profession et d’industrie standardisés. Les taux d’incidence cumulatifs ont été pondérés en fonction des non-réponses et calculés à l’aide des dénominateurs de la main-d’œuvre en équivalent temps plein (ETP) de l’American Community Survey de 2020.
Source : Proceedings of the National Academy of Sciences.
La transmission par voie aérienne se produit par le transport de virus par les gouttelettes après l’expulsion d’un aérosol par un hôte infecté. L’efficacité de la transmission résulte de l’interaction entre la survie du virus dans la gouttelette qui sèche et le temps de suspension de la gouttelette dans l’air, contrôlé par le couplage entre l’évaporation de l’eau et la sédimentation de la gouttelette. En outre, les gouttelettes sont constituées d’un fluide respiratoire et présentent donc une composition complexe composée d’eau et de solutés non volatils. Ici, nous quantifions l’impact de cette composition complexe sur les différents phénomènes qui sous-tendent la transmission.