Source avec lien : Work & Stress, 36(2). 10.1080/02678373.2022.2093517
Selon un examen externe de 2019, l’intimidation et le harcèlement sont » systémiques » sur le lieu de travail parlementaire néo-zélandais (Francis, 2019). Sa culture est « toxique », impliquant « des comportements nuisibles par et entre le personnel, les responsables, les députés, les médias et le public », et « les comportements inacceptables sont trop souvent tolérés ou normalisés. » Les ragots destructeurs, le travail de sape, le manque de coopération et de soutien, les comportements agressifs et les propos dégradants sont monnaie courante. Bien qu’il y ait « une majorité de députés et de ministres absolument adorables », d’autres se livrent à « des cris fréquents, des appels ou des textos injurieux, des diffamations… ou « sont simplement continuellement agressifs et crient… ». Un membre du personnel a déclaré : « J’ai été averti… Mais je n’ai pas pu le supporter. Cela m’a choqué. Il m’a fallu des années pour m’en remettre ». L’examen se termine par une liste de 85 recommandations visant à améliorer les choses, notamment l’élaboration de programmes de formation sur la lutte contre les brimades, une approche de tolérance zéro en matière de brimades et de harcèlement, des programmes de développement du leadership et l’accès aux services de travailleurs sociaux ou de psychologues agréés.
According to a 2019 external review, bullying and harassment are “systemic” in the New Zealand parliamentary workplace (Francis, 2019). Its culture is “toxic,” involving “harmful behaviour by and between staff, managers, members, media and the public,” and “unacceptable behaviour is too often tolerated or normalised.” Destructive gossip, undermining, lack of cooperation and support, aggressive behaviour and demeaning language are common. Although there is “a majority of absolutely lovely MPs and Ministers,” others engage in “frequent shouting, abuse calls or texts, character assassination … or ‘just continually being aggressive and shouting … ’.” One staff member said “I was warned … But I just couldn’t cope with it. It shocked me. It’s taken me years to recover.” The review concludes with a list of 85 recommendations to improve matters, including the development of training programmes on combating bullying, a zero-tolerance approach to bullying and harassment, leadership development programmes, and providing access to the services of accredited social workers or psychologists.