Étude d’usage, indications et pratiques de la contention physique dans les structures gériatriques

Source avec lien : Société française de gériatrie et gérontologie, novembre 2019.

Cette année l’enquête PUGG s’intéresse aux pratiques de la contention physique dans les structures gériatriques. La contention se définit ainsi : « La contention physique, dite passive, se caractérise par l’utilisation de tous moyens, méthodes, matériels ou vêtements qui empêchent ou limitent les capacités de mobilisation volontaire de tout ou d’une partie du corps dans le seul but d’obtenir de la sécurité pour une personne qui présente un comportement estimé dangereux ou mal adapté. » (HAS 2000). Cela inclut donc tous les moyens éventuellement inappropriés (draps, liens, adaptables bloqués, etc…), et l’usage de doubles barrières de lit. Pour des raisons de limitation de la durée de l’enquête, l’usage d’une contention en vue de la réalisation d’un examen complémentaire ou d’un geste diagnostique ou thérapeutique et strictement limité à celui-ci ne fait pas l’objet de cette étude. En revanche, la pose d’une contention pour maintenir la continuité des soins (perfusion en cours pour hydratation ou thérapie IV, sonde urinaire déjà posée pour rétention chronique…) entre bien dans le champ de l’enquête. »

Cette année l’enquête PUGG s’intéresse aux pratiques de la contention physique dans les structures gériatriques. La contention se définit ainsi : « La contention physique, dite passive, se caractérise par l’utilisation de tous moyens, méthodes, matériels ou vêtements qui empêchent ou limitent les capacités de mobilisation volontaire de tout ou d’une partie du corps dans le seul but d’obtenir de la sécurité pour une personne qui présente un comportement estimé dangereux ou mal adapté. » (HAS 2000). Cela inclut donc tous les moyens éventuellement inappropriés (draps, liens, adaptables bloqués, etc…), et l’usage de doubles barrières de lit. Pour des raisons de limitation de la durée de l’enquête, l’usage d’une contention en vue de la réalisation d’un examen complémentaire ou d’un geste diagnostique ou thérapeutique et strictement limité à celui-ci ne fait pas l’objet de cette étude. En revanche, la pose d’une contention pour maintenir la continuité des soins (perfusion en cours pour hydratation ou thérapie IV, sonde urinaire déjà posée pour rétention chronique…) entre bien dans le champ de l’enquête. »

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