Source avec lien : Journal of Occupational and Environmental Medicine, (Prépublication), 8/21/2020. 10.1097/JOM.0000000000001975
Objectifs : Nous avons cherché à déterminer l’effet de la violence au travail sur l’absence de maladie de longue durée, et si le soutien social des superviseurs et des collègues amortit cet effet. Méthodes : Les informations sur la violence au travail et le soutien social ont été tirées de l’étude de cohorte sur l’environnement de travail au Danemark en 2000, 2005 et 2010 et de l’enquête longitudinale sur la santé au travail en Suède en 2006 et 2008. Les effets individuels et conjoints sur les absences pour maladie de longue durée basées sur les registres ont été déterminés à l’aide de modèles de régression logistique pour des mesures répétées. Les estimations spécifiques à la cohorte ont été combinées dans des méta-analyses à effet aléatoire.
Objectives: We aimed to determine the effect of workplace violence on long-term sickness absence, and whether social support from supervisors and colleagues buffer this effect. Methods: Information on workplace violence and social support were derived from the Danish Work Environment Cohort Study in 2000, 2005 and 2010 and the Swedish Longitudinal Occupational Survey of Health in 2006 and 2008. Individual- and joint-effects on register-based long-term sickness absence were determined using logistic regression models for repeated measurements. Cohort-specific estimates were combined in random effect meta-analyses. Results: Workplace violence and low social support were independently associated with a higher risk of long-term sickness absence, and we did not find evidence of an interaction. Conclusion: Exposure to workplace violence is a risk factor for long-term sickness absence while social support is associated with a lower risk of long-term sickness absence.