Source : Journal of The Royal Society Interface.
À l’échelle mondiale, la propagation et la gravité de la COVID-19 ont été nettement non uniformes. La saisonnalité a été suggérée comme un facteur contribuant à la variabilité régionale, mais la relation entre la météo et le COVID-19 reste peu claire et l’attention s’est concentrée sur les conditions extérieures. Étant donné que les humains passent la plupart de leur temps à l’intérieur et que la plupart des transmissions ont lieu à l’intérieur, nous étudions ici l’hypothèse selon laquelle le climat intérieur – en particulier l’humidité relative intérieure (HR) – pourrait être le modulateur le plus pertinent des épidémies. Pour étudier cette association, nous avons combiné les statistiques COVID-19 basées sur la population et les mesures météorologiques de 121 pays.