Risk assessment for long and short range airborne transmission of SARS-CoV-2, indoors and outdoors

Source : PNAS Nexus.
Ici, nous revisitons l’évaluation quantitative du risque de transmission par voie aérienne, en considérant des limites asymptotiques qui simplifient considérablement son expression. Nous montrons que le risque de transmission par aérosol est le produit de trois facteurs : un facteur biologique qui dépend de la souche virale, un facteur hydrodynamique défini comme le rapport de concentration en particules virales entre l’air inhalé et l’air exhalé, et un facteur de filtrage du masque facial

The effect of air purifiers and curtains on aerosol dispersion and removal in multi-patient hospital rooms

Source : Indoor Air.
La transmission de maladies par voie aérienne est un sujet de préoccupation dans de nombreux espaces intérieurs. Ici, la dispersion et l’élimination des aérosols dans une chambre d’hôpital inoccupée de 4 lits ont été caractérisées à l’aide d’une expérience de traceur d’aérosol transitoire pour 38 expériences couvrant 4 configurations de purificateurs d’air et 3 configurations de rideaux.

Association between the infection probability of COVID-19 and ventilation rates: An update for SARS-CoV-2 variants

Source : Building Simulation.
Le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2), à l’origine de l’actuelle pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19), évolue. Ainsi, le risque de transmission par voie aérienne dans les espaces confinés peut être plus élevé, et les précautions correspondantes doivent être réévaluées.

Environmental contamination and evaluation of healthcare-associated SARS-CoV-2 transmission risk in temporary isolation wards during the COVID-19 pandemic

Source : American Journal of Infection Control.
Des salles d’isolement temporaire ont été mises en place pour répondre à la demande de salles d’isolement en cas d’infection par l’air (AIIR) pendant la pandémie de COVID-19. Un échantillonnage environnemental et une enquête sur les épidémies ont été réalisés dans des salles d’isolement temporaire converties à partir de salles générales et/ou de conteneurs préfabriqués, afin d’évaluer la capacité de ces salles d’isolement temporaire à gérer en toute sécurité les cas de COVID-19 sur une période d’utilisation soutenue.

Effect of indoor temperature on the velocity fields and airborne transmission of sneeze droplets: An experimental study and transient CFD modeling

Source : Science of The Total Environment.
Cette étude a présenté l’effet de la température intérieure (T∞) sur la dynamique de l’écoulement de l’air, les champs de vitesse, la distribution de taille et la transmission aérienne des gouttelettes d’éternuement dans un espace confiné par le biais d’une enquête expérimentale et d’une modélisation de la dynamique des fluides computationnelle (CFD).

CDF analysis of COVID-19 dispersion via speaking, breathing, coughing, and (or) sneezing

Source : The science behind the COVID-19 pandemic and healthcare technology solutionsSpringer
Toutes les expirations respiratoires humaines (respirer, rire, chanter, parler, tousser, éternuer, etc.) sont des jets multiphasés/turbulents contenant des gouttelettes respiratoires, qui comprennent des fluides couvrant toute la surface interne des voies respiratoires concernées. ) sont des jets multiphases/turbulents contenant des gouttelettes respiratoires, qui comprennent des fluides recouvrant toute la surface interne des voies respiratoires concernées. En outre, divers facteurs environnementaux, tels que la température, l’humidité relative, le vent, le temps, etc., affectent la distribution de ces gouttelettes. Comme elles jouent un rôle très important dans la transmission des maladies, les ingénieurs et les scientifiques étudient le mécanisme de leur dispersion, de leur rupture, de leur coalescence et de leur déformation de manière expérimentale ou en utilisant la dynamique des fluides numérique (CFD). Ils pourront ainsi proposer de précieuses solutions non pharmacologiques pour prévenir la transmission de virus pathogènes, tels que le COVID-19.

How do temperature, humidity, and air saturation state affect the COVID-19 transmission risk?

Source : Environmental Science and Pollution Research.
Cette étude introduit un nouveau concept, le rapport dynamique de dépôt de virus (α), qui reflète les changements dynamiques de l’inactivation virale et du dépôt de gouttelettes dans des environnements ambiants variables. Un modèle de Wells-Riley modifié par un état non stable est établi pour prédire le risque d’infection dans un espace aérien partagé et mettre en évidence les conditions environnementales à haut risque.

From microscopic droplets to macroscopic crowds: Crossing the scales in models of short-range respiratory disease transmission, with application to COVID-19

Source : arXiv preprint arXiv:2208.03147.
L’exposition à courte distance à des gouttelettes respiratoires chargées de virus dans l’air est désormais reconnue comme une voie de transmission efficace des maladies respiratoires, comme le montre l’exemple du COVID-19. Afin d’évaluer les risques associés à cette voie dans des contextes de vie quotidienne impliquant des dizaines ou des centaines d’individus, le fossé doit être comblé entre les simulations de dynamique des fluides de la propagation des gouttelettes et les modèles épidémiologiques à l’échelle de la population.

Efficient Elimination of Airborne Pathogens: A Study on aerosolized Mycobacterium tuberculosis and SARS-CoV-2 using ZeBox Technology

Source : Journal of Hospital Infection.
Malgré les preuves multifactorielles, l’élimination sûre et efficace des micro-organismes flottant librement reste un défi scientifique important. La technologie ZeBox exploite le potentiel zêta microbien pour les extraire et les éliminer de l’air libre, en utilisant un champ électrique non ionisant, en combinaison avec une surface microbicide.

The effects of indoor temperature and humidity on local transmission of COVID-19 and how it relates to global trends

Source : PLOS ONE.
Au cours de la pandémie de COVID-19, les analyses des données mondiales n’ont pas permis de dégager un consensus unanime sur la question de savoir si un temps plus chaud et humide freine la propagation du virus du SRAS-CoV-2. Nous avons supposé que cette absence de consensus était due au fait que les données environnementales mondiales, telles que la température et l’humidité, étaient recueillies à l’extérieur, alors que la plupart des infections ont été signalées à l’intérieur, où les conditions peuvent être différentes. Nous avons donc étudié méthodologiquement l’effet de la température et de l’humidité relative sur la propagation des gouttelettes respiratoires expirées provenant de la bouche, qui sont supposées être la principale cause de la plupart des infections à courte distance. En calculant la trajectoire des gouttelettes individuelles à l’aide d’un modèle d’évaporation validé expérimentalement, on obtient la hauteur et la distance finales des gouttelettes évaporées, puis on les met en corrélation avec la propagation globale du COVID-19. L’augmentation de l’humidité intérieure est associée à la réduction de la propagation du COVID-19, tandis que la température n’a pas d’effet statistiquement significatif.