Second Victim Program Helps Health Care Workers Cope in the Aftermath of Tragedy

Source avec lien : General Surgery News, 10/1/2019.

Nashville, Tenn.-Le 22 février 2001, Cheryl Connors est arrivée à l’hôpital Johns Hopkins de Baltimore pour son quart de travail comme infirmière pédiatrique. Les 24 heures suivantes ont changé Mme Connors et ses collègues pour toujours. Pendant ce quart de travail, une jeune fille de 18 mois nommée Josie King, qui était presque prête à rentrer chez elle après un traitement pour des brûlures graves, est morte d’une déshydratation extrême et d’une infection non détectée. Mme Connors, DNP, infirmière autorisée, qui avait trois ans de carrière en soins infirmiers, préceptait une nouvelle infirmière ce jour-là. Elle se souvient encore du sentiment d’impuissance face aux décisions de soins et des larmes d’anxiété de l’infirmière de nuit devant la détérioration de l’état de l’enfant. Après la mort de King, le personnel de Johns Hopkins, en collaboration avec la famille du tout-petit, a lancé une importante initiative de sécurité des patients. Cependant, peu d’attention a été accordée à l’effet du décès de la patiente sur les travailleurs de la santé qui s’occupaient d’elle. Au cours des années suivantes, Mme Connors et ses collègues ont dû composer avec l’insomnie, la culpabilité et les sentiments d’incompétence. « Beaucoup de gens ont quitté notre unité et une personne a même quitté la profession. C’était plutôt tragique. Le moral est devenu très bas. »

On Feb. 22, 2001, Cheryl Connors arrived for her shift as a pediatric nurse at Johns Hopkins Hospital in Baltimore. On that shift, an 18-month-old girl named Josie King, who was almost ready to go home after treatment for severe burns, died from extreme dehydration and undetected infection. Although the incident prompted a major patient safety initiative, little attention was given to the effect of the patient’s death on the health care workers who cared for her, who spent years struggling with insomnia, guilt, and feelings of incompetence. In 2010, Ms. Connors and her colleagues made the case to their hospital administration that they needed emotional support through difficult events. The administration agreed. With Dr. Albert Wu, Ms. Connors created the Resilience in Stressful Events (RISE) program. This article looks at the nature and effectiveness of RISE and similar programs to support second victims.

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