Source avec lien : Occupational and Environmental Medicine, 76(7), 5/24/2019. 10.1136/oemed-2018-105621
La violence en milieu de travail entraîne des pertes économiques considérables. Jusqu’à 10 % de toutes les admissions pour traumatisme crânien résultent d’agressions physiques. Il y a encore peu de recherches sur les voies de fait en tant que mécanisme de blessure, qui tiennent compte du sexe et de son association avec la réinsertion au travail. L’objectif de cette étude était de caractériser, selon le sexe, l’échantillon de travailleurs ayant subi un traumatisme crânien traumatique léger lié au travail (wr-mTBI) et d’évaluer l’influence indépendante de l’agression, comme mécanisme de blessure, sur le temps d’absence du travail.
Workplace violence carries a substantial economic loss burden. Up to 10% of all traumatic brain injury (TBI) admissions result from physical assault. There remains a paucity of research on assault as a mechanism of injury, taking into account sex, and its association with work re-entry. The aim of this study was to characterise, by sex, the sample of workers who had sustained a work-related mild traumatic brain injury (wr-mTBI) and to assess the independent influence of assault, as a mechanism of injury, on time away from work.