Source avec lien : IRSST : Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail, .
L’actuelle pandémie du coronavirus (COVID-19) et l’urgence sanitaire décrétée par gouvernement du Québec engendrent des contextes de travail qui sont susceptibles d’entraîner de la détresse et des conséquences psychologiques négatives pour les travailleurs. Le personnel soignant, le personnel de soutien et les intervenants psychosociaux du réseau de la santé et des services sociaux (RSSS) sont les plus à risque de développer des problèmes de santé mentale à la suite de cette pandémie[1]. Le sentiment d’urgence, l’imprévisibilité de la situation, la lourdeur des procédures pour éviter la contagion, le manque appréhendé d’équipement de protection individuelle, la peur d’être contaminé et de contaminer ses proches, le manque de personnel et la fatigue qui s’accumule exposent le personnel du RSSS à des éléments stressants et potentiellement traumatiques sur lesquels ils n’ont que très peu de contrôle.
L’actuelle pandémie du coronavirus (COVID-19) et l’urgence sanitaire décrétée par gouvernement du Québec engendrent des contextes de travail qui sont susceptibles d’entraîner de la détresse et des conséquences psychologiques négatives pour les travailleurs. Le personnel soignant, le personnel de soutien et les intervenants psychosociaux du réseau de la santé et des services sociaux (RSSS) sont les plus à risque de développer des problèmes de santé mentale à la suite de cette pandémie[1]. Le sentiment d’urgence, l’imprévisibilité de la situation, la lourdeur des procédures pour éviter la contagion, le manque appréhendé d’équipement de protection individuelle, la peur d’être contaminé et de contaminer ses proches, le manque de personnel et la fatigue qui s’accumule exposent le personnel du RSSS à des éléments stressants et potentiellement traumatiques sur lesquels ils n’ont que très peu de contrôle.