Source avec lien : Références en santé au travail, (172).
En écho aux différentes évolutions du monde du travail, ce congrès de la Société d’ergonomie de langue française (SELF) a voulu mettre l’accent sur les travaux portant sur la vulnérabilité des sociétés actuelles face aux risques sanitaires, industriels, naturels, sociaux ou technologiques. Plus précisément, il avait pour ambition de fédérer des réflexions menées en ergonomie et dans des disciplines proches, autour de la manière dont les institutions, les entreprises, les collectifs de travail, les communautés et les individus anticipent ces phénomènes, s’y adaptent et oeuvrent pour les surmonter. Parmi les sessions se trouvaient celles-ci : « Les vulnérabilités psychosociales », « Les émotions », « Genre et intersection des vulnérabilités », « L’évaluation de risques spécifiques », « Intermittence, insertions et vulnérabilités », « Santé et performance à l’hôpital ».
En écho aux différentes évolutions du monde du travail, ce congrès de la Société d’ergonomie de langue française (SELF) a voulu mettre l’accent sur les travaux portant sur la vulnérabilité des sociétés actuelles face aux risques sanitaires, industriels, naturels, sociaux ou technologiques. Plus précisément, il avait pour ambition de fédérer des réflexions menées en ergonomie et dans des disciplines proches, autour de la manière dont les institutions, les entreprises, les collectifs de travail, les communautés et les individus anticipent ces phénomènes, s’y adaptent et oeuvrent pour les surmonter. Parmi les sessions se trouvaient celles-ci : « Les vulnérabilités psychosociales », « Les émotions », « Genre et intersection des vulnérabilités », « L’évaluation de risques spécifiques », « Intermittence, insertions et vulnérabilités », « Santé et performance à l’hôpital ».