Source avec lien : Gestion, 44(2), 2019.
Afin de prévenir la démotivation, le désengagement ou l’absentéisme de leurs employés, plusieurs entreprises au Québec et ailleurs dans le monde choisissent de nommer un « responsable du bonheur ».
Quel est le rôle de ce nouveau gestionnaire ? Comment juger de son efficacité ? Quelles sont les qualités requises pour ce poste ?