Source avec lien : Canadian Occupational Safety, (January / February 2020), Feb-20.
Bien qu’ils puissent être exposés à des événements traumatisants au travail, les responsables de la sécurité ne sont souvent pas préparés aux difficultés émotionnelles qui en découlent. Tout comme ceux qui travaillent dans le secteur de la santé, les professionnels de la santé et de la sécurité veulent faire la différence, mais ce niveau de dévouement les rend plus vulnérables aux facteurs de stress du travail. Selon un sondage réalisé en septembre par la Sécurité professionnelle canadienne auprès de 400 professionnels de la santé et de la sécurité, 25 % d’entre eux ont déclaré avoir reçu un diagnostic de trouble mental : la dépression (29 % des répondants) est suivie par l’anxiété (27 %) et le SSPT (11 %).
While they may be exposed to traumatic events on the job, safety leaders are often unprepared for the ensuing emotional difficulties. Much like those who work in the health-care profession, health and safety professionals want to make a difference, but with that level of dedication comes increased susceptibility to the stressors of the job. According to a survey in September of 400 health and safety professionals by Canadian Occupational Safety, 25 per cent said they have been diagnosed with a mental health disorder : depression (29 per cent of those respondents) is followed by anxiety (27 per cent) and PTSD (11 per cent).