En temps de crise, les travailleurs de la santé (par exemple, les infirmières, les infirmières de pratique avancée, les médecins, les aides-soignants, etc.) continuent à fournir des soins, malgré des exigences professionnelles toujours plus difficiles, notamment un afflux plus important de patients gravement malades, un stress professionnel accru et un besoin fréquent d’heures supplémentaires. Ces exigences professionnelles peuvent aggraver des horaires de travail déjà difficiles (par exemple, des équipes de 12 heures, des équipes de nuit), ce qui rend plus difficile l’obtention de pauses régulières et de suffisamment de temps libre entre les équipes pour permettre une récupération adéquate. Tous ces facteurs de travail (c’est-à-dire les exigences physiques, émotionnelles et/ou mentales), combinés à un sommeil insuffisant, contribuent à la fatigue.
At times of crisis, healthcare workers (e.g., nurses, advanced practice nurses, physicians, nursing assistants, etc.) continue to provide care, despite ever challenging work demands, including higher influx of critically ill patients, increased work stress, and a frequent need for overtime. These work demands can compound already challenging work schedules (i.e. 12-hour shifts, night shifts), making it more difficult to obtain regular shift breaks and enough time off between shifts for adequate recovery. All of these work factors (i.e. physical, emotional, and/or mental demands) combined with insufficient sleep, contribute to fatigue.