Source avec lien : Prévention au travail, 35(2).
« Chaque année, près de 20 000 Québécois — des femmes, pour la plupart — continuent d’être victimes d’une infraction commise en contexte conjugal. En fait, au Québec, près du quart de la criminalité contre la personne est attribuable à la violence conjugale1. » C’est dans ce contexte que le 16e paragraphe du premier alinéa de l’article 51 de Loi sur la santé et la sécurité au travail (ciaprès LSST) 2, en vigueur depuis le 6 octobre 2021, aborde maintenant spécifiquement la prévention de cette réalité que l’on attribuait habituellement davantage à la sphère personnelle des travailleurs.
« Chaque année, près de 20 000 Québécois — des femmes, pour la plupart — continuent d’être victimes d’une infraction commise en contexte conjugal. En fait, au Québec, près du quart de la criminalité contre la personne est attribuable à la violence conjugale1. » C’est dans ce contexte que le 16e paragraphe du premier alinéa de l’article 51 de Loi sur la santé et la sécurité au travail (ciaprès LSST) 2, en vigueur depuis le 6 octobre 2021, aborde maintenant spécifiquement la prévention de cette réalité que l’on attribuait habituellement davantage à la sphère personnelle des travailleurs.