Source avec lien : Cochrane Database of Systematic Reviews, (10), 2020. 10.1002/14651858.CD013686.pub2
De nombreuses procédures dentaires produisent des aérosols (gouttelettes, noyaux de condensation ou « droplet nuclei » et éclaboussures) qui abritent divers micro‐organismes pathogènes et pourraient constituer un risque de propagation d’infections entre dentiste et patient. La pandémie de la COVID‐19 a suscité une plus grande inquiétude quant à ce risque. Les objectifs de cette revue de littérature étaient d’évaluer l’efficacité des méthodes utilisées lors des procédures de traitement dentaire pour minimiser la production d’aérosols et réduire ou neutraliser la contamination par les aérosols.