Source avec lien : The Lancet Infectious Diseases, , Jul-20. 10.1016/S1473-3099(20)30561-2
Un risque cliniquement significatif de transmission du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) par des fomites (surfaces ou objets inanimés) a été supposé sur la base d’études qui ressemblent peu à des scénarios réels… Je ne conteste pas les conclusions de ces études, mais seulement leur applicabilité à la vie réelle. Par exemple, dans les études qui ont utilisé un échantillon des particules de virus infectieux 10⁷, 10⁶ et 10⁴ sur une petite surface1-3 , ces concentrations sont beaucoup plus élevées que celles des gouttelettes dans des situations réelles, la quantité de virus réellement déposée sur les surfaces étant probablement inférieure de plusieurs ordres de grandeur.
A clinically significant risk of severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2) transmission by fomites (inanimate surfaces or objects) has been assumed on the basis of studies that have little resemblance to real-life scenarios… I am not disputing the findings of these studies, only the applicability to real life. For example, in the studies that used a sample of 10⁷, 10⁶, and 10⁴ particles of infectious virus on a small surface area,1–3 these concentrations are a lot higher than those in droplets in real-life situations, with the amount of virus actually deposited on surfaces likely to be several orders of magnitude smaller.5 Hence, a real-life situation is better represented in the work of Dowell and colleagues7 in which no viable virus was found on fomites.