Source avec lien : Journal of the American College of Radiology, (Prépublication), 6/29/2019. 10.1016/j.jacr.2019.05.049
Les infections nosocomiales sont reconnues depuis longtemps comme un facteur contribuant à la morbidité et à la mortalité hospitalières ainsi qu’aux coûts globaux des soins de santé, l’adoption subséquente de pratiques d’hygiène des mains et de nettoyage étant la principale défense contre la propagation de l’infection dans les hôpitaux. Traditionnellement, ces initiatives se sont concentrées sur les secteurs où la circulation et les contacts avec les patients sont fréquents, comme les services d’urgence, les étages des patients qui séjournent aux soins ou les unités de soins intensifs. Cependant, avec l’avènement des technologies modernes et portables et l’omniprésence des systèmes informatiques dans les hôpitaux, les zones à faible circulation, comme le service de radiologie, attirent de plus en plus l’attention en raison de leur possible rôle dans l’infection nosocomiale.
Nosocomial infections have long been recognized as a contributor to hospital morbidity and mortality as well as overall health care costs, with subsequent adoption of hand hygiene and cleaning practices as a primary defense of the spread of infection within hospitals. Traditionally, the main focus of these initiatives has centered on areas of high traffic and high patient contact, such as the emergency department, inpatient floors, or intensive care unit. However, with the advent of modern and portable technologies and the ubiquity of computer systems throughout hospitals, lower traffic areas such as the radiology department are gaining increased attention for their possible role in nosocomial infection.