Source avec lien : Institut national de santé publique du Québec, 2022-11.
Cette fiche présente les caractéristiques des différents virus responsables des infections respiratoires aiguës pouvant circuler dans les milieux de soins. Elle exclut toutefois le SRAS-CoV-2. Malgré la pandémie de COVID-19, les autres virus respiratoires demeurent une menace pour les usagers en milieu de soins. Un projet sur la surveillance des hospitalisations et des complications attribuables à l’influenza et autres virus respiratoires est en vigueur depuis 2011. Cette surveillance est réalisée par l’INSPQ et inclut quatre hôpitaux de soins aigus au Québec. Chaque année, un rapport est produit afin de déterminer la morbidité hospitalière, la mortalité et également la transmission nosocomiale de l’influenza et des autres virus respiratoires. Parmi les constatations du plus récent rapport, il persiste une tendance à une létalité plus élevée chez les usagers qui ont contracté un virus respiratoire autre que l’influenza. De plus, les cas nosocomiaux représentaient 15 % des cas d’influenza et 19 % des autres virus respiratoires. Ces données démontrent l’importance du programme de prévention et contrôle des infections dans les milieux de soins.
Cette fiche présente les caractéristiques des différents virus responsables des infections respiratoires aiguës pouvant circuler dans les milieux de soins. Elle exclut toutefois le SRAS-CoV-2. Malgré la pandémie de COVID-19, les autres virus respiratoires demeurent une menace pour les usagers en milieu de soins. Un projet sur la surveillance des hospitalisations et des complications attribuables à l’influenza et autres virus respiratoires est en vigueur depuis 2011. Cette surveillance est réalisée par l’INSPQ et inclut quatre hôpitaux de soins aigus au Québec. Chaque année, un rapport est produit afin de déterminer la morbidité hospitalière, la mortalité et également la transmission nosocomiale de l’influenza et des autres virus respiratoires. Parmi les constatations du plus récent rapport, il persiste une tendance à une létalité plus élevée chez les usagers qui ont contracté un virus respiratoire autre que l’influenza. De plus, les cas nosocomiaux représentaient 15 % des cas d’influenza et 19 % des autres virus respiratoires. Ces données démontrent l’importance du programme de prévention et contrôle des infections dans les milieux de soins.