Source avec lien : Journal of the American Geriatrics Society, (Prépublication), décembre 2019. 10.1111/jgs.16283
Cet éditorial commente l’article de Gontjes et al. Plusieurs études récentes ont examiné la transmission des MDRO aux travailleurs de la santé pendant qu’ils s’occupent des résidents des maisons de soins infirmiers dans leur chambre, et ont constaté que les activités les plus susceptibles d’entraîner la transmission d’organismes multirésistants (MDRO) des résidents aux travailleurs de la santé sont celles qui impliquent un contact étroit : aide aux activités de la vie quotidienne, examen physique, changement de pansements et soins ou utilisation d’instruments médicaux à demeure. Dans le présent numéro du Journal of the American Geriatrics Society, Gontjes et al. examinent le fardeau des MDRO récupérés dans les maisons de soins infirmiers à partir d’environnements extérieurs aux chambres des résidents. Ce faisant, ils s’aventurent dans un nouveau territoire pour la prévention et le contrôle des infections – celui des aires communes et de réadaptation dans les maisons de soins infirmiers.
This editorial comments on the article by Gontjes et al. Several recent studies have examined the transmission of MDROs to healthcare workers while caring for nursing home residents in their rooms, finding that the activities most likely to result in multi–drugresistant organism (MDRO) transmission from residents to healthcare workers are those that involve close contact: assistance with activities of daily living, physical examination, dressing changes, and the care or use of indwelling medical devices. In this issue of the Journal of the American Geriatrics Society, Gontjes et al examine the burden of MDROs recovered in nursing homes from environments outside of resident rooms. In doing so, they are also moving into new territory for infection prevention and control—that of common and rehabilitations areas in nursing homes.