Source avec lien : IRSST, 2022-12.
La présente étude s’intéresse aux travailleuses et travailleurs des services de protection de l’enfance exposés de manière répétée à des événements potentiellement traumatiques (EPT) dans le cadre de leur travail, notamment des actes de violence.. Dans ce contexte, le CPEJ du CSÎM a mis en place un protocole d’intervention post-traumatique (IPT) impliquant une équipe de pairs aidants formés pour offrir du soutien aux employés touchés par un EPT. La présente étude vise à comparer les effets du protocolee en plus du soutien usuel, identifier les prédicteurs de l’état psychologique et du fonctionnement professionnel chez les travailleurs exposés à un EPT, explorer les motifs du recours et du non-recours à l’IPT chez ces travailleurs, et explorer les besoins de soutien des travailleurs exposés à un EPT.
La présente étude s’intéresse aux travailleuses et travailleurs des services de protection de l’enfance exposés de manière répétée à des événements potentiellement traumatiques (EPT) dans le cadre de leur travail, notamment des actes de violence. Ces personnes sont ainsi susceptibles de développer des problèmes de santé mentale tels que l’anxiété, l’insomnie, la dépression et des symptômes de stress post-traumatiques. Sur le plan professionnel, ces EPT engendrent des coûts élevés pour l’individu et l’organisation. Dans ce contexte, le CPEJ du CSÎM a mis en place un protocole d’intervention post-traumatique (IPT) impliquant une équipe de pairs aidants formés pour offrir du soutien aux employés touchés par un EPT. La présente étude vise à comparer les effets du protocolee en plus du soutien usuel, identifier les prédicteurs de l’état psychologique et du fonctionnement professionnel chez les travailleurs exposés à un EPT, explorer les motifs du recours et du non-recours à l’IPT chez ces travailleurs, et explorer les besoins de soutien des travailleurs exposés à un EPT.