Source avec lien : Interbloc, 41(1).
Le bloc opératoire est souvent représenté dans l’établissement hospitalier comme un service à part, isolé, du fait de sa nature de secteur “protégé”. Il fait pourtant partie d’un réseau très vaste, soumis à des contraintes environnementales strictement encadrées par des normes réglementaires. Il est impératif de surveiller la conformité à ces règles par des contrôles stricts, dans le respect des bonnes pratiques, et d’avoir une traçabilité de ces contrôles à jour. En effet, des modifications extérieures, travaux, aléas climatiques, peuvent rapidement rompre l’équilibre de cette conformité et perturber les conditions de l’activité chirurgicale et la sécurité due aux patients. Cette série de fiches permet de rappeler les critères de qualité du bloc sur les points principaux des vecteurs de contamination que sont l’eau, l’air, le circuit des déchets et la biocontamination.
Le bloc opératoire est souvent représenté dans l’établissement hospitalier comme un service à part, isolé, du fait de sa nature de secteur “protégé”. Il fait pourtant partie d’un réseau très vaste, soumis à des contraintes environnementales strictement encadrées par des normes réglementaires. Il est impératif de surveiller la conformité à ces règles par des contrôles stricts, dans le respect des bonnes pratiques, et d’avoir une traçabilité de ces contrôles à jour. En effet, des modifications extérieures, travaux, aléas climatiques, peuvent rapidement rompre l’équilibre de cette conformité et perturber les conditions de l’activité chirurgicale et la sécurité due aux patients. Cette série de fiches permet de rappeler les critères de qualité du bloc sur les points principaux des vecteurs de contamination que sont l’eau, l’air, le circuit des déchets et la biocontamination.