Source avec lien : Prévention au travail, 31(4), 2019.
Lorsque vient le temps d’explorer les liens entre les bioaéosols, l’exposition aux moisissures et les effets sur la santé des travailleurs, les méthodes d’analyse par culture atteignent leur limite. Cette approche dite « classique » ne permet pas d’établir précisément la diversité fongique d’un milieu puisque seulement 1% des moisissures sont cultivables. Une approche de séquençage de nouvelle génération (SNG) pourrait remédier à ce problème.
Lisez l’article et découvrez le rapport de recherche dont il s’inspire sur le site de Prévention au travail.
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