Source avec lien : Agency for healthcare research and quality, janvier 2020.
Les hôpitaux ont fait beaucoup de chemin en utilisant systématiquement des interventions fondées sur des données probantes et des protocoles groupés pour combattre les infections dangereuses et coûteuses résistantes aux antibiotiques. Cependant, les organismes qui causent ces infections associées aux soins de santé (IASS) se comportent souvent de façon différente, ce qui rend un protocole potentiellement plus efficace pour un organisme, mais moins pour un autre. En comprenant quel protocole est le plus efficace pour une bactérie résistante aux antibiotiques et quel protocole est le plus efficace pour chaque IHA, les hôpitaux peuvent adapter leurs pratiques de contrôle des infections de la manière la plus sûre et la plus rentable. Les travaux du chercheur Anthony Harris, M.D., M.P.H., financé par l’AHRQ, ont permis de faire la lumière sur cette distinction essentielle.
Hospitals have come a long way in routinely using evidence-based interventions and bundled protocols to combat dangerous and costly antibiotic-resistant infections. However, the organisms that cause these healthcare-associated infections (HAIs) often behave in different ways, making one protocol potentially more effective for one organism, but less so for another. By understanding which protocol is most effective for an antibiotic-resistant bacteria and which protocol is most effective for each HAI, hospitals can tailor their infection-control practices in the safest and most cost-effective manner. The work of AHRQ-funded researcher Anthony Harris, M.D., M.P.H., has shed light on this key distinction.